Celui qui ne disait rien mais jugeait tout le monde

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Allongé sur le lit, à l’admirer d’en-bas, à l’envier de trop loin. Tu n’as qu’à lever la tête pour le voir t’observer, te narguer, te juger. Il est resté le même, il n’a jamais changé. Il est toujours là, que tu veuille ou pas le voir, il est présent. Lui, le blanc, le propre, l’immaculé. Et toi, le gris, le sale, l’imparfait. Il entend tout, il voit tout, mais il ne dit jamais rien. Il ne réagit jamais. Quand tu pleures, quand tu cries, quand tu l’insultes, il reste de marbre, totalement indifférent.

















Après tout ce n'est que le plafond.

Un vrai bordel de texte Où les histoires vivent. Découvrez maintenant