Chapitre 1 - Novembre 915 - Royaume des Ombres

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L'enfer est un univers particuliers, l'image que les humains en ont n'est ni fausses, ni vraie. En réalité, l'enfer est constituer de plusieurs « étages », la file d'attente et les cages sont là pour les fraichement damnée et les âmes à torturer, ensuite il y a les travailleurs, les démons aux services des Enfers et leurs famille, plus bas il y a la « gamelle » et la demeure de Satan, ensuite cela commence à ressembler à la Terre, en plus ancien, plus rouge et légèrement plus sale. Il y a des bâtiments, des enfants qui cours dans tous les sens, des mendiants, des familles... Ces personnes, de tous horizons, sont là, en Enfer, et servent à la communauté.

Ils sont tous Damnés, et la plupart de ces personnes ont descendus les étages un par un. La torture, la servitude, l'asservissement, et le labeur. Si les règles et contrats ne sont pas remplis, il remontent les étages et recommence. Les rares personnes à pouvoir se dorer la pilule en Enfer sont les dirigeants, les Rois. Satan, et Lucifer ainsi que quelque privilégier, les premiers démons, les personnes qui ont suivis Lucifer lors de sa chute du Paradis...

Malheureusement, rien ne se passe jamais comme prévu...

Certaine personne en Enfer se permettent des débordements aux étages les plus tranquilles, sans se faire punir. Car les puissants ont toujours raison ici-bas.

Il y a des ruelles souterraine, sombre et sale. Ou l'eau coulant dans les caniveaux est remplacé par le sang, ou les habitants n'entendent pas les cris d'agonis, car si entendent, remplaceront ces pauvres âmes. Des ruelles ou la crainte se lit dans chaque regard, chaque ride. Des ruelles ou des montres tortures des âmes normalement protéger.

Une ruelle en particulier nous intéresse aujourd'hui. Derrière cette porte brinquebalante et couverte de vieux sang épais, sous la lumière lugubre et triste du soleil de l'enfer, et des flammes fatiguée des torches se trouve la raison de notre présence ici.

Une femme attachée à une simple chaise, le visage tuméfiée et en sang, les yeux bandé, et bâillonnée, son cou mordu, mutilé, étranglé, ces vêtements en lambeaux laissant apparaitre des hématomes, des lacérations, des brulures. Ses cuisses ou sont enfoncer plusieurs poignards, et son sang qui coule, ses genoux brisées, ses tibias cassée, et ses pieds... Ses pieds soigneusement brisées et brulées, transpercés.

A première vue, il ne reste rien de cette jeune femme. Elle n'est qu'un morceau de chair qui peine à trouver de l'air. Ses bourreaux, vêtus de noire de la tête au pied, ne laissant apparaitre que leur yeux cruels, lui assainissent des coups si violents et répéter, que la jeune Ombe se demande si son cœur va tenir une fois de plus, elle ne sait pas pourquoi, ni comment, ni ou. Elle ne sait plus rien, elle perd pieds. Sa mémoire lui échappe et ses souvenirs qui l'aident à tenir se font désormais rares. La voix qui l'aider au fond de son cœur s'est éteinte, elle sent la fin s'approcher et se demande où elle ira après sa mort. En Enfer pour que tout ceci recommence ? Ou sera-t-elle gracier... Elle rêve du néant, cet endroit terrifiant ou il n'y a rien. Ses bourreaux ne la laisse pas reprendre son souffle, et font preuves d'imagination pour la faire souffrir, sans un mot.

Ils repartent et laisse Ombe agonir dans le noire, sanguinolente seule et mourante. Ses yeux ne savent même plus pleurer, et sa bouche n'a plus la force de crier, ni même de geindre de douleur. Son corps sans force, ne la tiens plus droite sur la chaise. Sa respiration, difficile et incertaine se fait de plus en plus rare. Ombe a tout oublié, sa mémoire est partie la laissant seule. Elle ne sait plus qui elle est, elle ne sait même plus pourquoi elle a mal. Elle a peur. Peur de souffrir encore, peur de vivre une seconde de plus cette Enfer dont elle ne sait plus rien.

Les bourreaux eux, partent de cette pièce sans le moindre mot, avec la fierté du travaille accomplis dans leur regards, ils enlèvent leur masques, et les passe au deux suivants. Un relai bien organisé pour qu'Ombe n'ait que dix minutes de répits entre chaque équipe.

Mais aujourd'hui, ce soir, et peut être toute la nuit, Ombe aura le répit dont elle a besoin pour respirer. Car un évènement va venir perturber la jolie organisation de ces monstres. Quelque chose, ou quelqu'un.

MEMORY GAME (2eme version)Where stories live. Discover now