L'inconnu c'est généralement celui que l'on ne connaît pas.
Normalement celui que l'on ne connaît pas est un étranger.
L'étranger, lui, ne demande qu'à connaître.
Alors l'inconnu qu'il est, n'a que soif de connaissance.
Toutefois, la connaissance lui est restreinte.
Onlui réduit son champ d'action et de connaissance car c'est le proprede tout-un-chacun.
L'étranger fait peur !
Tout comme l'inconnu d'ailleurs !
L'insouciance de savoir ce que l'inconnu peut nous apporter ou nous apprendre nous montre que l'étranger part sans apprendre ce qu'il devait savoir de nous.
Généralement, le cœur de l'appréhension fait marcher l'impossible de savoir si l'inconnu étranger connaît et a conscience de ce qu'il doit nous apprendre.
L'insolite de l'affaire diplomatique inclus le droit de pouvoir se tourner versl'inconnu qui lui-même tourne le dos à tous ce que les étrangers pensent de lui.
Instruire et introduire les plus importantes pensées connues rassure les plusgrands inconnus.
Tous les illustres penseurs étrangers prouvent leur existence perdue sous forme intrusive à l'appel de l'être inconnu.
L'espoir de connaître, un jour, l'étranger, fait surgir le bon sens bien connu généralement de l'inconnu.
