Kyoto

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Admirant cette vue, le calme omniprésent;
Je contemplais les grues, dans ce cadre idéal.
Plus rien ne me pesait. Je ne vois plus le mal;
La tête sans pensées, mon âme dans le vent.

Lac gelé, froid glacial, arbres ayant perdu
Toutes leurs floraisons: tu restes la plus belle.
Kyoto, toi ma ville, rendant les mortels
D'une immense beauté: ne peux être déplu.

Lorsque toutes les fleurs, libérant leurs odeurs,
Exposent leurs couleurs: écartent les terreurs.
Abeilles butinant, les papillons volant,

Tous les oiseaux chantant, permettent aux hommes,
Même aux malades, de guérir tout syndrome.
Les criminels, eux, deviennent innocents.

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