Jouer

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Quand je fus renter chez moi, je retiré mes chaussures et me dépêcher de rejoindre mon lit pour m'affaler dessus. Je repensé à cette journée, à ma rencontre avec ces jumeaux, à mon repas, ... Je me relever d'un coup en repenser à ce midi pourquoi Even m'avait t-il pris dans ces bras quand les critique avait commencé, voulait -il faire taire tous ces remarques ou voulait-il seulement me serrer contre lui car il le voulait, je remuer la tête de gauche à droite non il voulait juste m'embêter, il ne peut pas être gentil surtout après ce qu'il m'a fait faire.

Je m'en voulais tellement d'avoir porté la main sur ma meilleure amie que je considère comme une sœur, mais je préfère quelle me déteste à vie qu'elle soit blessée par ma faute, je suis comme sa je préfère porter seul tous les problèmes du monde sur mes épaules pour que les gens que j'aime soit libre de faire ce qu'ils veulent, d'ailleurs elle n'arrêté pas de me le dire, mais cette voici je ne peux rien lui dire.

Je n'arrête pas de penser à elle et sa me rend malheureuse, mais quand je pense à ces deux jumeaux diabolique ma tristesse s'envole est devient de la colère, comment avait-il osé me faire ça, mais je me disais que ce n'est pas eux et encore moins Even qui m'avait obligé à la taper c'était moi qui avait pris cette décision. J'étais partager être la tristesse et la colère.

J'étais inconsolable je me demander j'allais vivre sans elle. Je fini par m'endormir d'épuisement à force de pleure.

Je venais de me réveiller et je ne voulais pas aller au lycée, je savais que je devrais affronter le regarde triste de Ludivine et l'air supérieur de se crâneur d'Even. Mais il fallait que j'affronte cette épeure, que je reste forte.

Je venais de me mettre devant le miroir et me taper les joues pour me remotiver.

- Aller un peu de motivation, tu peux le faire Sam.

Sam était le petit surnom que tout mon entourage me donner à par Ludivine qui détester qu'on m'appelle comme ça, elle disait toujours quel trouvais que mon prénom était jolie et qu'il ne devait pas être gâcher à causer d'un surnom.

Je me rendis dans la cuisine et aperçus un mot de ma mère m'indiquant quelle partait pour une semaine avec mon père ; mes parents étaient souvent absents avec leur métier d'écrivain ils allés régulièrement à des conférences ; du coup je me retrouver seule comme d'habitude avec la voisine qui viendrait tous les soir pour voir si je n'étais pas morte.

J'avais l'habitude qu'il me laisse seule mais cette fois si je n'avais vraiment pas envie de me retrouver seule dans cette grande maison que je trouver vide et froide quand mais parent la quitter.

Comme à mon habitude je me rendis au lycée, ce matin je voulais tout éviter, ne plus revoir Ludivine, Quentin et Even mais je voulais surtout éviter cette forêt qui m'avait glacée le sang, je pris un autre chemin plus long de quelque minute.

Comme par réflexe je me dirigé vers l'endroit où Ludivine m'attendait tous les matins, mais cette fois ci elle n'était pas là, se vue comme une claque, une vague de souvenir m'envahis c'est vrai je me suis disputer avec elle. Je regardai autour de moi pour voir ou elle se trouvait, je vue stupéfaite de trouvais Ludivine entoure par Quentin et Even.

J'avancé vers eux mais au bout de quelque pas je vu paralyser par le regarde noir qu'Even me lancer, il avait fini par remarquer ma présence. Il fit un sourit en coin quand il vit que je mettais arrêté et commença à toucher les cheveux de Ludivine qui me tournait le dos, il arrêta de me regarder pour poser sa tête dans le creux de son cou, à ce moment-là je ressenti une douleur dans la poitrine, comme si j'avais reçus un coup de coûteux dans le cœur, je serais jalouse impossible, je refuse !

Puis ce fut le trou de Quentin de me regarder, Even m'avais tourné le dos lui aussi, il regarder dans la même direction que Ludivine. Quentin se retourna quand il m'aperçut, il avait un regarde plus doux mais qui me paralyser tout autant, il finit par détourna le regard et entoura la taille de Ludivine et la rapprocha de lui après avoir retirer la tête d'Even de son épaule.

Je ressentis un soulagent quand Even retira sa tête, mais j'était folle de rage qu'il la prenne pour un jouer, il ressembler a deux enfant qui se bâter pour une poupée. Il essayé de m'énerver et j'avais juste l'impression qu'il m'avait éloigner d'elle pour la garder pour eux Je préfère partir que de voir se spectacle qui me fessait du mal et m'énerver à la fois.

La cloche avait sonné depuis quelque minute, je voulais plus que tout leur parler, je me mis en embuscade derrière un mur et attendit qu'il passe, à mon plus grand soulagement Ludivine n'était pas avec eux, elle devait être en classe. J'avais décidé de sécher les cours pour les attraper je savais qu'il venait au lycée mais non en cour et que ce serait le meilleur moment pour leur parler seul à seul.

Je sortis de ma cachette et me planter devant eux les bras croisé sur la poitrine, mais ils m'ignoraient royalement et continuèrent à avance comme si de rien n'était. Je me retournés furieuse, le regard noir et les poing serré.

- Eh vous deux, je dois vous parler!

Ils continuèrent comme si de rien n'étais, je me mis à courir pour me mettre dans l'espace qui se trouver entre eux, je pris leur bras pour m'accrocher à eux.

- Vous m'entendez, ne faites pas semblent! j'avais dit ces paroles en pivotent la tête de droit à gauche pour les regarder.

- Pourquoi tu n'es pas en cour petit chat. Even avait dit cette phrase sans même me regarder, il fixé toujours droit devant lui .


- Car je dois vous parler ! je ne le regarder plus que lui.

- Tu ne peux pas le faire plus tard ? demanda Quentin.

- Nan, c'est important! je mettais tourner pour regarder ces yeux saphir qui m'observer avec païenne.

- On est pressé. me chuchota Quentin d'une petite voix remplit de tristesse.

- J'ai tout mon temps, alors je viens avec vous ! 

J'étais déterminer à ne pas les lâcher, j'exigé des explications tout de suite, je voulais comprendre de pourquoi il fessait sa.

Even m'attrapa par le bras et me fit pivoter pour que je sois devant lui, il me regardé avec une regarde sombre, j'avais le bout du nez qui tremblait, on aurait dit un lapin apeuré.

- On vient de te dire non, alors va faire mumuse ailleurs !

Il me repoussa violemment et continua d'avancer en riant, son rire me glaça le sang je connaissais se rire, c'était le rire que j'avais entendu près de la forêt. C'était donc lui, qu'il m'avait suivi et il rigoler dans son coin, pourtant je ne l'avais pas vue, tout expliqué voilà pourquoi Quentin avait hurlais que c'était de la triche a son frère alors que je me pensais seule. J'étais paralyser de peur et d'effroi à cette nouvelle.

Quentin me sorti de ma rêverie en posant sa main sur mon épaule tout te fois il regarder son frère entrain de rire en avancent.

- On pourra parler après, promis.

Je ne savais plus quoi penser, mais les paroles de Quentin m'avaient rassuré.

Even s'arrêta, tourna la tête en nous jettent un regard remplit de mépris, il crispait le manoir énervé, le point serrer, il me dévisagea de la tête au pied. Il ne me quitter pas des yeux.

- Tu viens, on est attendu!

- Oui j'arrive.

Even venait de tournais les talons à la fin de sa phrase, Quentin se mis à marcher plus vite pour le rattraper, le deux continuèrent d'avancer sans se retourner. Je les regarder sans un mot, figée par ma découverte et la froideur de l'aîné . Quand ils arrivèrent au bout du couloir et ils tournèrent à gauche, je pue observer le profil d'Even. Je crue apercevoir Even me regarder du coin de l'œil avec un air triste comme s'il s'en voulait de m'avoir fait peur.

Très vite la réalité me rattrapa Even était cruelle, sans cœur pour lui je n'étais qu'un simple jouer, il n'a aucun sentiment ou pitié envers moi.

Un amour sataniqueOù les histoires vivent. Découvrez maintenant