Partie 58

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Le père de Aymene: Tu l'aime ?

Moi: Qui ?

Le père de Aymene: Mon fils.

Moi: Ah... euh.. c'est pas moi la fille d'on il parle.

Et là il commence a rire.

Le père de Aymene: J'ai bien vus comment il te regarde et comment toi aussi tu le regarde.

Moi: Je veux pas qu'il ce mette sa famille a dos.

Le père de Aymene: Tu sais benthi Aymene est têtu et s'il décide d'être avec toi il le sera.

Moi: Mais...

Le père de Aymene: Ne le fait pas souffrir comme l'autre c'est tout ce que je te demande Lëyna.

Moi: Je vous le promet, mais sa vous dérange pas ?

Le père de Aymene: Oh je ne suis pas comme ma femme s'il veux ce marier avec toi et tout Le tralalas cela ne me dérange pas t'en qu'il est heureux comme les autres.

Je vois il s'arrête je regarde au tours de moi et vois que je suis arriver à la cité je le remercie mais il voulais vraiment monter avec moi et m'aide à marcher pcq j'avais vraiment mal au jambe bref on monte je sonne et c'est Yohan qui ouvre.

Yohan: On attendais plus que toi.

Je rentre avec le père de Aymene on va dans le salon je fessais la fille qui avais rien mais j'avais grave mal je voulais pleurais limite, le père de Aymene rentre dans le salon et là je vois mon père heureux on aurais dit un gamin qui vois des bonbons arriver.

Mon père: Youssouf que deviens tu ?

Le père de Aymene: Toujours aussi beau.

Il on commencer à parler de tout et de rien quand ma mère arrive elle lui dit bonjour mais elle étais grave gêné c'est la première fois que je vois ma mère comme sa mais bon il on parler vite fait puis il est reparti on c'est dit en revoir et j'ai pas arrêté de le remercier, je retourne au salon et là je vois mon père qui change de tête.

Amara: Il ce passe quoi ?

Mon père: Voilà j'ai une mauvaise nouvelle à vous apprendre votre petit cousin Ismael est décédé aujourd'hui.

Yohan: Nan c'est pas possible..

Moi: il est...

Mon père: C'est la maladie.

Amara: C'est la drepanocytose ?

Ma mère: Oui..

On savais pas quoi dire c'était horrible on dirais pas comme sa mais cette maladie fait plein de victime et personne en parle tout le monde s'en fou.

Mon père: Donc votre mère et moi nous allons partir au bled quel que temps.

Moi: Je viens avec vous.

Amara: Moi aussi.

Kaïssim: Je viens aussi.

Yohan: Moi aussi.

Je vois ma mère les larmes au yeux du coup je la prend dans mes bras.

Amara: On part quand ?

Mon père: Demain.

Bon je vais vous passer un peut ma mère à pleurais et je suis rester avec elle puis elle c'est endormi les garçons il fessais leurs valise tout mon père prenez les billet du coup j'en n'est profiter pour envoyer un message à Aymene.

L'amour n'a pas de prix Où les histoires vivent. Découvrez maintenant