PREMIERE DIVAGATION...

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Elle est légèrement appuyée contre la commode, le froid du bois sur sa peau nue l'aidant à garder contact avec l'instant présent. Elle le fixe du regard, comme hypnotisée par les mouvements de sa main, faisant de lents va et viens sur son membre dressé.

La tension qui lui vrille le creux du ventre est presque insoutenable, mais il ne lui a pas permis de bouger donc encore moins de se caresser elle aussi.

Allongé sur le lit, il s'amuse de la voir ainsi, nue, rougissante et tremblante, mais il sait que ce n'est pas le froid qui la tenaille, mais la faim de lui. A chacun de ses gémissements il la voit se raidir et resserrer les cuisses. Quelle délicieuse vision !

Se rapprochant du bord du lit, il lui dit de s'approcher de lui, lui prenant la main il la fait agenouiller d'un simple mouvement de poignet. Sa respiration s'accélère quand il la prend par les cheveux pour lui approcher la tête de son sexe.

Quelle douce torture que d'avoir cette queue juste devant ses lèvres mais de ne pouvoir y gouter ! Elle en aurait pleuré de frustration et d'excitation. Mais il obtient ce qu'il veut. Enfin elle lui demande, le supplie même de la laisser le toucher. Il la libère alors et ôte sa main de son membre, lui laissant ainsi libre accès.

Elle hésite un instant, elle ne veut pas se précipiter mais au contraire profiter de ce moment, car elle sait à cet instant précis que c'est elle qui domine. Alors, avec une lenteur calculée, elle le prend de sa main et fait remonter sa langue tout du long. Une fois, puis deux et encore... enroulant sa langue sur son gland. Puis elle se positionne face à lui et en le regardant dans les yeux le prend en bouche, il tressaille mais la laisse faire. Elle se joue de lui, comme il se jouait d'elle quelques instants plus tôt. L'emmenant toujours un peu plus haut puis s'arrêtant ou le mordillant légèrement.

Il se serait presque laissé faire, lui donner ce qu'elle veut, la laisser le faire jouir sur sa langue. Mais il n'est pas d'humeur à ça. Non ! Il est bien décidé à la rendre folle encore un peu. Lui prenant le menton d'une main ferme mais pas de façon brutale, il la repousse gentiment, la laissant à genoux il se dresse devant elle et prend quelques seconde pour l'admirer, elle si belle, avec ses airs candides, parfaite ainsi agenouillée à ses pieds. Il lui ordonne de se mettre debout, lui prend les mains et les lui mets dans le dos, la guidant jusqu'à la commode. Il lui mord l'épaule avant de la contraindre à se pencher en avant. La maintenant d'une main, il empoigne son sexe pour le présenter à l'entrée d'elle.

Elle frissonne, mais pas à cause du froid du bois, mais par anticipation, elle sait qu'il va pendre tout son temps pour la pénétrer, mais elle ne s'en plaint pas bien au contraire ! Elle a l'impression qu'il reste ainsi de longues minutes qui n'en finissent pas, la pénétrant que de quelques centimètres. Se retirant un peu puis revenant, un peu plus en elle. Puis sans la prévenir il la pénètre jusqu'à la garde, d'un coup de rein fort et puissant. Elle ne peut s'empêcher de crier sous le coup de la surprise, il empoigne alors ses cheveux la redressant brusquement puis place sa main sur sa bouche, étouffant ses cris de plaisir. Il descend sa main sur sa gorge, lâche ses poignets qu'il maintenait encore fermement, agrippe sa hanche et la pénètre encore et encore, toujours plus fort, plus vite.

La pression monte au creux de ses reins, la tempête menace de l'emporter, elle ne sait pas si elle a le droit de se laisser emporter ou pas, alors dans le doute elle se retient de toutes ses forces. Mais la claque sur les fesses qu'il lui administre, le feu que cela déclare sur sa peau, déclenche son orgasme, elle a l'impression de voler en éclats, elle n'est plus que sensations, plaisir, les muscles de son intimité se resserrant sur lui, il la rejoint dans un dernier râle de plaisir, s'immobilisant un instant avant de s'effondrer sur son dos....



LA PREMIERE DIVAGATION DE DATURANOIREWhere stories live. Discover now