Chapitre 12- Au secours

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Noir. Tout est noir. Je ne voit rien. Les bruits qui m'entourent m'indique que je me trouve dans une voiture. Plus précisément dans le coffre d'une voiture. Ma bouche est couverte d'un papier adhésif et mon corps refuse de bouger. Mes mouvement sont entravé par la corde épaisse qui m'entoure. J'entends des paroles. Je distingue 4 voix différentes. Ils sont quatre et ils discutent entre eux. Mes oreilles refusent amèrement de distinguer correctement ce qu'ils dissent.

J'ai peur

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J'ai peur.. Que me veulent-ils? Vais-je m'en sortir? S'il vous plaît, quelqu'un.. D'un coup, la voiture s'arrêta. Étions-nous arrivés? Le coffre s'ouvrit soudainement. La lumière du jour m'obligea a fermer les yeux subitement. Une ombre cachait la lumière ce qui me permettait d'ouvrir les yeux. Je vis avec horreur l'homme qui était dans mon appartement. Il souriait. Un sourire malsain était collé à ces lèvres. Ma respiration ce fit de plus en plus saccadé par la peur et les larmes qui menaçait de couler. Il ne vaut pas que je pleure. Ne soit pas faible devant eux. Les trois autres ce trouvait derrière. Aucun ne me disait quelque chose. Je n'en connaît aucun. L'homme me pris par le haut du bras en me sortant violemment du coffre. Il me jeta au sol pour ensuite fermer la porte du coffre. Le gravier m'écorcha la peau. Je poussa un cri étouffé par le ruban coller à mon visage. Un autre homme me releva aussi violemment que le premier, m'obligeant à marcher vers un bâtiment délabré. On aurait dit une usine abandonné depuis plusieurs années. À l'intérieur, il y avait des million de tuyaux au plafond ainsi qu'un sol en béton froid et dur. On m'amena dans une petite pièce sans fenêtre ni lumière. Pas très accueillante. Un matelas de quelque centimètres était placé dans un coin de la petite pièce. Il n'y avait rien d'autre. Je débattait de toute mes forces sans trop de succès. Je suis beaucoup plus faible de lui. À voir son gabarit, je ne fait clairement pas le poids. On finit par me jeter sur le petit matelas. Un autre cri de douleur me parvient en bouche. Mon dos avait frapper le mur d'une violence hallucinante. Putain! Ça fait mal! Un autre homme vient m'attacher les mains à une chaine au mur. Je ne peut plus bouger d'un seul poil. Je  regardait tour à tour les trois homme qui était devant moi. Il en manquait un. Celui qui était dans mon appartement. Où est-il passé? Un cognement répondit rapidement à ma question. L'homme en question entra dans la pièce en fessant signe au trois autre de quitter la pièce. Je me retrouvait seule pendant un bon moment. Je tentant tant bien que mal de me défaire de ces chaines affreusement douloureuses. Bon sang! J'y arrive pas!! Mes gestes fut stopper quand j'entendis la porte s'ouvrir. Un bruit horrible de grincement parvienne à mes oreilles. Une grimace prit position de mon visage. Une fois la porte totalement ouverte, un autre homme marcha vers moi. Putain, mais ils sont combien, merde!! Cet homme est différent des autres. Sa démarche n'est pas la même que tout les autres. Qui-est-ce? Est-ce que je le connaît? L'homme s'approcha dangereusement de moi. Avec la faible luminosité, je ne distingue pas bien son visage. Il finit pas s'accroupir devant moi. Ma respiration était le seul son qu'on entendait. L' homme fini par parler. Il s'approcha de mon oreille et chuchota d'une voix malsaine

- bonjour, Mia..

La panique s'empara de moi. Non, je ne veut pas. Je vous en prit.. Je ne pus empêcher les larmes de couler. Ma respiration ce fut plus rapide d'un seul coup. Pourquoi me suit-il partout. Pourquoi il veut détruire de nouveau ma vie. Pourquoi?

Sombre passé..Où les histoires vivent. Découvrez maintenant