Pour des raisons pratique aujourd'hui je ne dirais pas ton nom comme celui de mon amie. Aujourd'hui elle sera Clara, et toi, tu seras Sabrina, celui qui m'a brisé, bien plus que n'importe qui dans ma vie.
On à fait connaissance, on s'est bien aimé. Tout aller bien, tu as rencontré celui qui partageait ma vie, celui que j'aime plus que tout. On buvait des verres ensemble, innocemment, tu me souriait je te souriait. Nos TD on les faisaient ensemble, je signais pour toi en amphis, je te donnais les cours. J'étais toujours inquiète de ne pas te voir le matin. On était ami. Aucune ambiguïté. Tout allait bien dans le meilleur des monde. Avec Clara on était un merveilleux trio, "les trois mousquetaires" que tu disais.
Notre groupe ne cassait surement pas trois pattes à un canard, mais cela me permettait de ne pas être seule, d'oublier le fait que j'avais peur de cette nouvelle école, de cette nouvelle ville, de cette nouvelle ville... Tu avais ma confiance, j'arrivais presque à me confier alors que je suis si fermée, peu de gens on eu la chance de pouvoir me voir pleurer et même me voir si faible que tu m'as vue.
Tu sais... Ce n'est pas que moi. Je ne te faisait pas confiance, mais on te faisait confiance. On a même accepter de troqué notre petite soirée tranquille contre une soirée avec alcool. Pourtant tu savais, je te l'avais dit, je ne tiens pas l'alcool. On avait tout pour réussir cette soirée, des chips, des boissons non alcoolisée, des séries et des films d'horreur... Mais j'ai plié, j'ai dit oui pour l'alcool, me disant que cela ne pouvait pas être si désastreux que ça, vue que je te faisait confiance.
Mais voilà... J'ai bue,Clara aussi, toi non. Enfin beaucoup moins que nous deux. Heureusement que... Tenait mieux l'alcool que moi, sans elle je n'aurais jamais eu le courage d'écrire ceci, sans elle j'aurais crue ta version des faits et non la réalité. Un premiers baiser. J'ai essayé de te repousser comme j'ai pu, cependant le cerveau complètement enivrée tu n'as surement pas compris mes gestes affolé. "Je t'aime" ces mots étaient apparemment miens. Cela est faux bien entendu, une version de plus, ta version mensongère. Tu oublies une chose... On était deux ce soir là, elle n'était pas encore totalement enivrée par l'alcool, comparé à moi.
tu aurais pu t'arrêté la. Tu aurais pu ne me faire qu'un simple baiser, j'aurais peut être compris... Malheureusement si je raconte cette histoire aujourd'hui c'est que tu ne m'as pas seulement fait un seul baiser. je m'était allongé sur mon canapé, tu t'étais assis prêt de moi, je commençais à reprendre petit à petit mes esprits. Mais voila une nouvelle attaque de ta part. Une mains beaucoup trop basse sur mes cuisses, qui descend sur mon entre jambes. Elle le caresse, me fait me sentir vide. Je me débat et enlève plusieurs fois cette main qui deviendras le sujet de beaucoup de mes cauchemars.
Tu aurais pu t'arrêté là.. Tu aurais pu te dire que c'était immorale, je l'aurais compris... Mais voila, Clara en a aussi subit les frais. dans la nuit, cette main qui avait déjà fait beaucoup de dégât s'est aventuré sur sa poitrine. Sais-tu comment elle se sens aujourd'hui ? Vide, tout comme moi. Dégoutté de l'homme, elle a peur. Elle se méfie de chaque hommes, alors qu'ils ne sont pas tous comme toi.
Le pire dans cette histoire, ce qui m'a détruite encore un peu plus..."Tu m'as cherché, tu t'es servis de moi." Voilà tes mots, si dure.. si blessant. Donc je t'aurais cherché, je t'aurais aguiché, je me serais servis de toi ? Même si cela avait été le cas, même si je m'était servis de toi, cela n'explique en aucun cas tes actes Sabrina. Tu n'as été qu'un salop qui s'est servis de deux jeunes filles pour assouvir ses désirs de jeune éphèbe. Aujourd'hui encore tu nies, tu dis à qui connais cette histoire, que il se serait passé quelque chose entre nous, que je t'aurais séduite, que je me serrais servis de toi. Mon cher Sabrina, sache que tôt ou tard, tes mensonges te rattraperont.
Beaucoup diront que ce n'est pas parce que on caresse des zones que cela doit être réprimé, ou que cela est grave. A toutes ces personnes qui pense, et même, qui disse se genre de parole, vous ne valez pas mieux que Sabrina.
Si j'écris ces quelques lignes aujourd'hui, si je me confie, si je m'expose à beaucoup de questions, de regard malsain, de rire sortant de certaines bouche, c'est pour toute celle qui un jour on connue Sabrina, puisse ne plus se sentir seule.
A vous, peut importe vôtre âge, vôtre sexe, vôtre métier, vôtre façon de vous habiller. Peu importe les circonstance, vous ne serrez jamais la cause d'un viole ou d'une agression sexuel. Sabrina, peut importe qui il est n'aura jamais raison. Vous n'êtes pas des objets de désirs, et Sabrina n'aura jamais raison.