Chapitre 4

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Les bombes tombais une après l'autres sur la cour et sur une partie de la prison. Je regardit Carl qui étais en panaique tous comme moi. Carl courrus vers l'extérrieur et je le suivis en courrant avec Judit dans les bras. Je trouvais que ce n'étais vraiment pas une bonne idée de sortir. Lorsqu'il atteigna la porte de l'extérrieur, il l'ouvris et je vit ce fameu gouverneur. Il bonbardais ca-et-la. Carl ferma la porte derrière nous et courrus vers les céllule, je le suivais. Tous les autres étais partie s'en qu'ons s'en appercoive. Je croisa le regarde de Carl terroriser et qui remplissais un sac de nourriture et autres truc.

Carl: SUIS-MOI!

il courrus vers une porte de la prison et entra dans un sombre couloir. Je le suivais de près.

Moi: Carl! Qu'est ce qu'ont fou ici bordel? Cette partie n'as meme pas été netoiyer. Il doit y avoir encore pleins de rodeur!

Il se retourna vers moi et possa sa main sur mon bras et plongea ses yeux bleu au miens. Je pouvais y lire de la colère, de la tristèsse, de la peur mais aussi quelque chose d'autres que je ne sue pas.

Carl: Je sais, mais, ces le seul moyens d'avoir un espoir de survivre! Fait moi confiance, je sais ou qu'ont vas.Moi: D'accord. Je te suis.                             

J'avais judit dans mes bras qui pleurais mais pour le moment, je n'y pouvais rien. J'entendit un grognement et me retourna. Il y avais au moin trente rodeur qui '' courais '' vers nous. Je m'arreta et dit d'un soufflement '' Carl '' qui ce retourna et s'arreta.

Carl: allez, Allez, ALLEZ!

Nous courions et s'arrètions pas longtemps après. Carl voulais ouvrir une trape dans le sol mais avais de la difficulter. Pendant ce temps, moi je tirais sur les mort vivant qui arrivais de plus en plus près. Les tremblement causser par les bombardement étais de plus en plus fort. Les rodeur étais maintenant a trois mètre de nous quand Carl arriva par ouvrire la trape, nous pénétrons donc dedant. Carl ferma la porte et les rodeur marchais dessus la trape. Puis je n'antendit que le soufle de Carl et judit pleurer. C'étais noir. Ont ne voyais rien. C'étais tellement petit comme endroit! Je reprit les esprit et fouilla dans le sac a Carl et y sortie une lampe-de-poche et de la nourriture. Carl avais Judit dans les bras et la bercais. Moi, je tendit de la nourriture a Carl qui la prit doucement. Ensuite... Un gros '' Boum '' se fit entandre et je paniquais encore plus. Mais tot au tard, je fini par m'endormir...

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