Vampire Heart

Chapitre 1: le commencement

7h30:

Mon réveil sonne, je ne compte pourtant pas me réveiller. Je suis beaucoup trop fatiguée à cause de la soirée d'hier. Je ne pense pas aller en cours. Mes amies, Eva et Chloé, doivent être dans le même état d'après mes souvenirs d'hier. J'entends quelqu'un descendre les escaliers. Peut-être sont-elles plus fortes que moi finalement. Après quelques minutes passées dans un état second, je décida de descendre. En arrivant dans la cuisine, je pu observer la tête de mes deux  amies: elles avaient des énormes cernes et les cheveux ébouriffés. Je vais éviter de leur faire une réflexion. Je dois avoir la même tête qu'elles. De plus, Chloé serait capable de me lancer son café à la tête. Je me prépara donc mon café en silence. Du moins jusqu'à ce qu'Eva commence à parler: 

"Si vous voulez aller en cours aujourd'hui, ne comptez pas sur moi pour vous accompagner. 

-Oh,  je ne comptais absolument pas y aller. Ça vous dit de se faire une journée entre filles? proposais-je.

-Dans tout les cas la journée ne peut être qu'entre filles, étant donné que nos seuls amis garçons ne doivent même pas être réveillés. me répondit Chloé en rigolant."

Me rendant compte de l'absurdité que je venais de sortir, je me mis aussi à rigoler, suivie d'Eva.

"Et si nous allions leur rendre une petite visite? proposais-je avec un sourire en coin.

-Je suis totalement partante. En plus je dois me venger de Chris qui m'a reversé son verre dessus hier soir. dit Chloé

-Oh ma pauvre! Maintenant que tu le dit je l'avait vu hier soir mais j'ai cru que tu t'étais vomi dessus. se moqua Eva.

-On se laisse 1 heure pour se préparer et on y va ? proposais-je.

-Ok, ça me va, répondirent-elles en même temps."

Nous sommes donc montées nous changer, moi avec mes vêtements et elles avec ceux qu'elles avaient amenés avant la fête. En sachant qu'elles prennent beaucoup de temps à se laver, je couru le plus vite que je pouvais vers la salle de bain, en récupérant mes vêtements au passage. Heureusement pour moi, je réussi à arriver en première. Etant une personne assez sympathique, contrairement à mes amies je ne pris pas beaucoup de temps à me doucher. A peine, ouvrais-je la porte de la salle de bain afin de pouvoir sortir, que je vis mes deux amies courir dans ma direction. Chloé réussi à faire un dérapage contrôlé mais pas Eva, qui s'étala par terre. Je ne pu me retenir de rire, suivie par les filles.

1 heure plus tard, nous étions toutes prêtes, pour une fois que l'on était dans les temps. Nous sommes donc sorties. Le choix pour savoir qui allait conduire étant trop difficile pour nous, nous nous résolûmes à aller chez les garçons à pieds. A peine arrivées chez Chris, qui avait invité Bryan et Tristan chez lui comme j'avais invité Chloé et Eva chez moi, nous nous fûmes signe d'être discrètes. Eva sortit la clé de sa poche: nous avions chacun la clé de chez les autres par soucis de praticité. Nous rentrâmes donc et ne furent pas surprise de les découvrir tout les trois étendus que le canapé du salon. Ils étaient encore habillés comme hier. En nous regardant, nous décidâmes, avec les filles, de leur renverser chacun une bouteille d'eau sur la tête. Armées chacune d'une bouteille, nous nous sommes mises chacune au-dessus d'un des garçons: Chloé au-dessus de Chris, Eva au-dessus de Tristan et moi, au-dessus de Bryan. Lorsque l'eau eût atterri sur le visage, nous avons eu la satisfaction de les voir se réveiller en sursaut et de voir leur tête se décomposer. Fière de notre coup, nous nous sommes tapé dans les mains, jusqu'au moment où nous les vîmes se tourner vers nous avec un sourire sadique scotché sur le visage. Affolées, nous nous sommes mises à courir tandis qu'ils nous lançaient un:

"Vous allez voir ce que vous allez voir"

Prise de panique, je ne réfléchis pas longtemps: je monta les escaliers quatre par quatre dans l'espoir de pouvoir aller m'enfermer dans le dressing. Voyant que j'étais poursuivie, je ne réfléchis pas vraiment et continua à courir jusqu'à la terrasse. Voyant que j'étais bloquée, Bryan se mit à sourire, fier de lui. Il continuai à avancer tandis que je reculais. Le problème fût que j'arriva trop tôt au bord de la terrasse. Ne réfléchissant pas, je fis le truc le plus bête qu'il l'était permis de faire :

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