CHAPITRE 9

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Je viens de me lever, mais il n'y a personne dans la maison. Je me demande bien ce qu'ils font les deux garçons. ?

Un peu plus loin, au supermarché du coin :

-bon alors ta ''déclaration amoureuse '' s'est mal passée on dirait! Dit Tom d'un air amusé.

- Parle pour toi ! elle ne veut pas du tout de toi ! un mec qui ment aux autres est mille fois pire que quelqu'un qui lit dans les pens... oups !

- tu lis dans les pensées ! je savais que t'étais pas bien toi !!!

-peut etre que je lis dans les pensées, mais moi au moins, il y a UN truc cool dans ma vie !!

- pfff. Si tu savais ! je suis un menteur de haute qualité tu vois ! moi, je ne dévoilerais pour rien au monde mon secret !

Dans la maison de Tom :

- Et si j'allais manger la ! je ne vais pas les attendre indéfiniment !

Toctoctoc.

- Et ben ce n'est pas trop tôt ! entrez les garçons, j'allais commencer a déjeuner.

- Ouvrez moi, s'il vous plait !

Ce n'est pas la voix de Baptiste, ni de Tom.. mais bizarrement, elle m'a l'air familière.

Inquiète, j'ouvre doucement la porte en prenant garde à garder mon pied derrière.

- Je suis pas un paysan ! t'inquiète pas petiote !

- Que voulez vous !? Tom n'est pas la !

- Oh ce n'est pas lui que je cherche mais une jeune fille pucée depuis peu, nommée... mince je ne m'en souviens plus, ça commençait par Al... ah ma mémoire me joue encore des ptit tours !

Blanche neige est un de mes films préférés, alors je dois faire attention en n'ouvrant a personne que je ne connais pas et en ne donnant pas mon identitée a un inconnu.

- Heu, je ne connais personne se nommant al... quelque chose . ! prise de panique je ferme la porte au nez de cet homme. Il retoque.

- Vous ne connaissez donc pas Baptiste ?

- Hum, si je le connais, mais nous ne parlons surement pas de la même personne.

- Et bien il est grand, blond et sa mère fait partie d'une secte de pouvoirs.

- Si... vaincue, je rouvre la porte en grand. La personne que je vois devant moi est celle que j'aurais aimée voir tous les matins au petit déjeuner, qui aurait du me protéger des orages le soir, celle qui aurait eu un plat spécial pour lui, qui m'aurait préparé des frites quand je le voulais, c'est lui qui s'est occupée de moi durant quatre ans et m'a confiée a grand papy...

- Alyce... ma petiote !

- Pa... pa... oh mon dieu !!! au bord des larmes, je me jette dans les bras de mon père grands ouverts.

Alyce en 3152Où les histoires vivent. Découvrez maintenant