Partie 93

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Point de vue de Zoubida

Siham s'éclipse et laisse rentrer Mohammed, cette homme qui ma tant fais souffrir. Je suis face à lui est le regarde avec degout, oui cette homme me dégouter malgré que je l'aimais d'une force inimaginable. On se regarder au moins pendant plusieurs minutes quand il se decide de ce rapprocher de moi, je recule et me voila coller au radiateur. Il me prend par le bras et me prend ensuite dans ses bras, a ce moment la j'étais comme tétanisée. Je ne l'ai pas serrer dans mes bras a sont tour mais je profiter juste a sentir sont coup, les larmes commencent a couler le long de mes joues. Je commence alors a lui mettre des coups sur sont torse, quand une rage me prit d'un coup je le pousse de toute mes forces mais il ne bouge pratiquement pas.

Zoubida : T'avais pas le droit Moha!!! T'avais pas le droit, tu n'a jamais changer enfaite tu reste toujours la pourriture que tu étais quand je tes connu
Mohammed : Ta pas le droit de dire sa! Tu parle de moi alors que toi tu tes fais passer pour morte et tu ma laisser les deux gosses et tu parle de pourriture.
Zoubida : Tu la tabasser toi et cette connasse!
Mohammed : Tu veux que je te dise quoi ? Ouais je l'ai taper elle te ressembler tellement que je me suis defouller sur elle tes contente de ce que tu entend ?
Zoubida : Tu me degoute, tu as toujours etais violent je ne comprend meme pas pourquoi je me suis marier à un monstre
Mohammed : Mais laisse moi t'expliquer
Zoubida : M'expliquer quoi ? Que ma fille se faisais battre par sont père et la pute de sont père, Moha elle ta fais du shlor ou ces comment !!
Mohammed : Parle pas d'elle comme sa, je vais te giffler betement
Zoubida : Pour ne pas changer de d'habitude vasy je t'en pris.
Mohammed : Ta gueule
Zoubida : JE SUIS PLUS LA FEMME FAIBLE QUE TU AVAIS A L'EPOQUE ALORS JE TE DEMANDE DE TE CASSER DE CHEZ MOI POUR ALLER RETROUVER TA PUTE, LAISSE MOI AVEC MES ENFANTS, ELLE TA PEUT ETRE PARDONNER MAIS PAS MOI

Je sors de la cuisine en furie et lui ouvre la porte de l'appartement pour qu'il se casse de chez moi, une fois devant la porte il se retour vers moi.

Mohammed : Tes sur de ce que tu fais.
Zoubida : Plus que sure creve sale monstre !

Je lui claque la porte au nez et part dans la cuisine en larmes, je m'éffondre comme toujours quand il s'agit du père de mes enfants ainsi que du seul amour de ma vie.

Point de vue de Siham :

J'entend des cris puis une porte claqué, je me dirige vers la cuisine et vois ma mère entrain de pleurer sans mon père, que c'est t-il passer? Je m'approche d'elle et lui touche le bras, elle se retourne et me fou une grosse baffe dans la gueule

Zoubida : Tout sa c'est de ta faute!!!!! Je t'avais dis que je n'étais pas prete mais madame a voulu faire cas sa tete, tu sais meme pas comment j'ai envie de te frapper Siham!
Siham : Mais..
Zoubida : Y a pas de mais! Mele toi de ton cul, il pensait que jetais morte et a cause de toi il c'est que tout sa c'était bidon.
Siham : Mama
Zoubida : Je veux plus rien entendre sayer, c'est bon je suis fatiguée sortez de chez moi je vais me coucher, previens tous le monde.

Elle sort de la cuisine et me laisse seule dans la cuisine, je me tiens la joue je n'en reviens toujours pas. J'ai toujours voulu faire le bien et au final tous ce que je fais ces de la merde, une main se pose sur mon épaules je me retourne et je vois que c'est Mehdi, je le regarde avzec incompréhension. Il s'approche de moi et m'embrasse avec douceur et sensualité, je ne calcul pas sur le coup je suis encore entrain de penser a la giffle que ma mère vient de me mettre quand je vois que nous sommes entrain de s'embrasser, ses levres mon tellement manquer. Je prolonge ce baiser langoureux, nos langues jouent ensemble quand je reviens a la raison et que je le giffle a mon tour.

Siham : Plus jamais tu me touche!

Il me regarde avec imcompréhension et veux pour parler mais je lui saute dessus, il m'attraper au niveau de mes fesses et je l'embrasse a pleine bouche. Suis-je bipolaire ? Hmmm je pense, il me comme contre la fenetre et m'embrasse le cou. Toute la sensualité de notre premiere fois ensemble refait surface, c'était aussi doux et sensuelle qu'à l'époque. Quand Shérazade rentre de la cuisine je glisse des bras de mehdi et descend en remettant bien mon hijab

Une prostituée à la citéeOù les histoires vivent. Découvrez maintenant