Ose tenter le diable

jour 5 2/2

PDV Cattiva.

Diavolo: arrête ça tout de suite ou je te casse tous tes membres un par un!!!

M.D.R.

Il a cru qu'il m'avait aidée!!!

Je sais qu'il me regardait à travers la caméra, me demandez pas comment, je le... sentais.

Bref, quand le Rodriguez là m'a attachée, il n'a pas remarqué qu'il ne m'avait attaché qu'une main.

Je vous explique, je suis nue devant lui,qui est clairement en manque, et je gigotais dans tous les sens ce qui fait bouger mes seins et déconcentrer le mec en manque.

Je suis intelligente.

En attendant qu'il se rapproche le pantalon baissé, un coup de genou bien placé, le vol des clés et le tour est joué.

Vous allez me dire "oui mais il t'a quand même embrassée et giflée" oui, c'est vrai, c'est juste pour qu'il prenne la confiance. Ça a bien marché je trouve.

Bref retournons à nos moutons.

Moi: Hey!! Pas de problème, je te préviens juste que je lui ai déjà cassé quoi déjà?!

Rodriguez: mon bras!! Cette folle m'a cassé mon bras.

Moi: j'avoue que c'est beau à voir.

Diavolo: mais... qu... que... tu... et...

Moi: vas y Diavolo, enchaîne avec une phrase complète maintenant.

Il sort un flingue et là je me dis qu'il va encore me tirer une balle dans la jambe. Alors même si je ne veux pas lui montrer la faiblesse je ferme mes yeux.
Je me prépare à l'impact de la balle quelque part sur mon corps et alors que j'entend la balle être tirée, je pousse un léger gémissement.

Mais... aucune douleur ne se fait ressentir.
Je préfère rester les yeux fermé devinant facilement sur qui Diavolo a tiré.
Je n'entend plus aucun bruit quand soudain je sens 2 doigts se poser sous mon menton.
Je sursaute et ouvre les yeux.
Diavolo se tient devant moi accroupi. Il me regarde droit dans les yeux et me fais relever la tête.

Diavolo: as-tu peur de moi Cattiva?

Trop abasourdie par cette question, je me contente d'hocher la tête négativement.

Diavolo: très bien. Et bien tu devrais pourtant...

Il fait une moue mi déçu mi amusée et il arrive à me voler un léger sourire.

Il m'aide à me relever et me prête sa veste en cuir. Légèrement trop grande, elle couvre tout mon corps.
Il me fait sortir et je prend directement la direction de ma "cellule".

Diavolo: Hey... tu vas ou?

Moi: Bein dans ma... cellule?

Diavolo: Non, suis moi je t'emmène autre part.

Je décide de le suivre, trop fatigué pour lui prendre la tête. On longe le couloir et on arrive dans la pièce principale du manoir.
Je ne suis restée que 2 jours dans cette cave sombre et dégueulasse mais bizarrement j'ai le ressenti que c'était ×1000 plus longtemps.