Avec lui, c'est venu lentement, sans que je m'en rende compte. Je le croisais chaque jour, je le regardais à peine, rien ne me portais vers lui. Et, un matin, j'ai compris. Compris que sa présence était devenue un baume, que son absence était une brûlure. Un matin, à force de l'avoir à mes côtés, j'ai pris conscience que je ne serais plus capable de me passer de lui.

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AlteleCitations et textes sur la dépression, la mutilation, le suicide, l'amour... J'y joins aussi des images en rapport avec ces mêmes thèmes. Mais je vous rassure, je fais attention aux images que je mets, et si ça peut choquer ou faire peur, je prévien...