Chapitre 1 : bienvenue

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Point de vue du père :

Je suis actuellement chez mes futurs beau fils. Et moi, tout comme ma futur femme d'ailleurs, attendu des nouvelles du juge. Voilà un mois que l'affaire est mise en délibéré. De quel affaire je parle ?

Et bien il s'agit que la garde de ma fille.
Je suis entré en justice avec mon ex femme lorsque j'ai vue que ma fille mangeait beaucoup moins, que sa santé était devenue fragile et surtout, qu'elle avait l'air si triste.

J'ai expliqué la situation au aine de ma fiancée. Masaomi a proposé que si j'obtenais sa garde, elle pourrait venir vivre avec eux. Qu'il serait ravis de prendre soin d'elle pendant que je serais absent pour organiser le mariage.

Je devais avoir des nouvelles aujourd'hui mais toujours rien. Je commence à penser que j'aurais pas ma fille auprès de moi.
Alors que je commençais à désespérer mon téléphone sonna, je répondis aussitôt :

-Ici Hinata Rintaro
-Bonjours monsieur, je suis Maître Tsukichima.
-Avez vous des nouvelles du jugement ?
-En effet, le juge a tranché en votre faveur, les témoignages du médecin et du psychologue l'a convaincu.
-Donc si je comprend bien, des se soir ma fille pourra quitter sa mère; disais-je en lançant un regard à Miwa-san.

Celle ci sourit à toute ces dents.

-En effet, un officier va aller récupérer votre fille, et elle devrait être chez vous d'ici une heure.
-Très bien, merci beaucoup Maître.
-Je vous en pris monsieur Hinata.

Je raccrochais, posais mon téléphone et pris Miwa-san dans mes bras. Quelques larmes coulèrent le long de mes joues. Elle se détourna de moi et regarda ces fils qui avaient assister à tout l'échange.

-C'est terminé ! Fit ma fiancé à ses fils. Votre soeur va bientôt arrivé.

Wataru fut le premier à réagir, il poussa un cri de joie. Les autres se contentaient de sourire ou de me félicité.

Point de vue de Letta:

Lorsque l'officier est arrivé devant la maison, j'ai su que mon cauchemars était terminé. Sans attendant je me munis d'une valise et y rentrait le peux d'affaire que je possédais. C'est à dire quelque vêtement et mes livres.

On frappa à la porte de ma chambre. Se fut ma mère qui entra, un air haineux sur le visage. Sans un mot, elle me gifla et me dit froidement:
-N'oublie pas, je viendrais te reprendre !

L'officier arriva et me dit que nous y allions. Je ne répondis même pas à ma génitrice m'emparais de ma valise et le suivis d'un pas rapide. Une fois dans la voiture, des larmes de soulagement m'échappait.

Une petite heure après, nous arrivions devant une résidence. Je sortis de la voiture et suivait l'homme qui me guida jusqu'à une porte. Il me dit que tout se passera bien, il frappa à la porte.

Se fut une femme qui nous ouvrit. Lorsqu'elle nous vit une sourire illumina son visage, elle nous invita à rentré. Elle nous guida jusqu'à un immense salon où une douzaine de personnes de personnes attendaient.

Quand je vis mon père et que lui me vit. Je m'élançais dans ses bras, je l'avais enfin retrouvé. Mes larmes coulèrent un flot tandis qu'il me rendait au centuple mon étreinte.

-Tu m'as manqué ma chérie; me chuchota t'il à l'oreille.
-Toi encore plus; lui répondais-je.

Il s'écarte un peu et me fixa, j'ai bien vu que son regard c'est durcir en voyant ma joue prendre une couleur bleutée. Je le rassurais d'un sourire.

Il se tourna vers l'officier et le remercia. Celui ci nous salua et déposa ma valise au pied de l'escalier et quitta la maison. Il se plaça ensuite au côté de la femme et lui prit la main.

Une nouvelle soeur ou presque Où les histoires vivent. Découvrez maintenant