Awyn cherche toujours à atteindre cette étrange femme cela fait maintenant plus d'une vingtaine de minutes qu'il essaye, lorsque ça course se fait interrompre par un infirmier de l'hôpital, un blond vénitien, assez grand, il la violemment attraper par le bras.
"Après quoi court tu ? retournes dans ta chambre, les repas vont être servis." S'exclama l'homme sur un tond sévère.
"Auriez-vous vu une brunette à tresses passer par là ?" Dit Awyn contrarié.
"Les heures de visites sont terminer depuis plus d'une heure, elle a du partir aller vas dans ta chambre maintenant."
Répondît l'homme agacé, qui d'ailleurs, pensait qu'il inventait.Awyn s'exécute, il retourne sur ses pas avec l'impression d'avoir laissez partir quelques choses d'important, cette femme avait peut être réponse à ses questions, qui sais.
L'homme à la blouse bleu le raccompagne.
À mis-chemin, un bruit le stop nette, il pris une bonne dose de courage, du souffle et se retourna.
En face de lui se trouve un petit enfant serrant un ours dans ses bras, scarifier, la peluche à plein de cicatrice et un pansement sur la plaie dégoulinante de sang qui sors de son œil noir en boutons. L'infirmier endormi par la peur, se réveille en se rappelant le danger de cet endroit."Mon garçon vient par ici on vas aller chercher t'es parents"
Dit-il encore surpris de le voir ici.Le petit ricane en s'approchant doucement, très lentement et une fois très proche, il lui vola ses lunettes puis appuya sur le bidon de son nounours avant de prendre la fuite,
l'homme prit panique."Tu te caches, je te trouve, tu me trouves, tu te caches."
Sorti de la peluche une voix douce et rassurante qui entra soudainement dans cet sombre atmosphère, l'air d'une comptine, faites de notes joyeuse.
Peut à peut la voix de la chansonnette devient ensuite grave et les paroles incompréhensible, on ne parvient à comprendre que quelques mots.Le blondinet cherche dans un total brouillard à ce repérer avec l'impression d'avoir une vitre opaque en face de lui, plus les choses sont loin, moins il les voyait, marchant comme un zombie, espérant retrouvé l'enfant, le corps tremblant, l'homme à la blouse avançait dans un silence complet jusqu'à ce qu'une silhouette noir et presque translucide apparaissent, l'infirmier alla dans ça direction, se rapprochant de lui dans une marche accéléré, très rapide, puis reconnue le petit brun à bretelle.
L'enfant couru vers lui et s'arrêta nette, l'homme cessa de marcher, en voyant indistinctement ça tête faire un tour sur elle-même, le petit resta figer comme une sculpture avec un regard très insistant et angoissant.
Le coeur envahie par la peur, l'homme ne le sentit même plus battre et après plusieurs longue minutes d'angoisses très intense, les yeux dans les yeux, la mort dans le regard,
le garçon lui saute dessus et lui fait un câlin,
l'homme entoura ses bras autour de lui encore totalement sous l'effet éperdu du choque puis le petit se retira, lui souris et lui envoya un couteau dans le thorax, une marre de sang longe le couloir coulant à une vitesse incroyable.
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ᴹᴼᴼᴰ ᴹᴼᴿᵀᴱᴸ
HorrorFermez les yeux. La vue du coeur est là seule qui vous accompagnera dans l'ombre car ont ne peut voir le noir que pars le noir. (Il s'agit de la suite de "Horreur par message" qui se poursuivra sous forme d'histoire)