Une Nouvelle

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En se basant sur la démonstration de l'école de danse contemporaine de Jérusalem sur « white noise » lien Youtube : https://www.youtube.com/watch?v=GfPNEaEr6O4

Les arbres dansaient au gré du vent sous le ciel gris. Le temps était frustré. Les feuilles tombaient sur la tribu Naakan. Le silence régnait à l'orée de la forêt. La nature agitée était le premier ennemi de la tribu. Une tache noire se formait à l'horizon.

La confrontation fut violente. La nature accompagna cette bataille, déferlant tous les éléments contre les combattants. Une torche tomba. La fleur rouge s'éleva et s'accrocha aux branches. Le vent la nourrit et elle prit vite une taille imposante. Les arbres se pliaient à sa volonté, ils tombaient, un par un. La bataille faisait rage et l'ennemi prenait du terrain et des vies. Naakan n'avait plus qu'une seule solution, se défendre. Face à la rage de la nature et la violence meurtrière de l'ennemi, la tribu ne pouvait que fuir dans la forêt. A leur passage, la fleur chaude fanait alors que les éléments continuaient de les poursuivre. Le souffle puissant du ciel fut vite rejoint par des larmes. Une, puis deux, puis des torrents déferlaient du ciel. Il leur en voulait. La colère prit le dessus et des éclairs foudroyant frappèrent la terre d'une puissance encore inconnue. L'eau coulait à torrent entre les arbres. Naakan esquivait les fleurs dansantes, les rivières menaçantes et sautait pour attraper les branches et fuir l'enfer ici-bas. Mais l'enfer était partout, le vent les poussait violemment, secouait les arbres. Le tonnerre secouait les corps frêles fuyant les éclaires terribles qui frappaient le sol. Le peuple abattu par la guerre et la tempête était décimé. Ils quittèrent leur maison brulante et soumisse face à la fureur de la nature. Ils voyagèrent dans l'espoir d'une terre calme et pleine d'avenir. Un jardin d'Eden leur ouvrit les bras. Ils s'y installèrent entre ces géants feuillus et apaisants. La paix leur souriait enfin après ces drames terribles et naturels. Le peuple se reconstruit vite mais le malheur leur collait à la peau. Dame nature n'en avait pas fini avec eux. La guerre n'était pas pardonnable à ces yeux. Un cataclysme n'était pas satisfaisant. Ils devaient souffrir, apprendre de leur erreur, quitte à rejoindre la terre. Détruisant lentement les corps, se rependant comme un poison dans l'air, la maladie avait été fatale. La nature avait été cruelle, mais autant que l'Homme ?

Les arbres dansaient au gré du vent sous le ciel gris. Le temps était frustré. Les feuilles tombaient sur la tribu Naakan. Le silence régnait à l'orée de la forêt. La nature agitée était le premier ennemi de la tribu. Une tache noire se formait à l'horizon.

La confrontation fut violente. La nature accompagna cette bataille, déferlant tous les éléments contre les combattants. Une torche tomba. La fleur rouge s'éleva et s'accrocha aux branches. Le vent la nourrit et elle prit vite une taille imposante. Les arbres se pliaient à sa volonté, ils tombaient, un par un. La bataille faisait rage et l'ennemi prenait du terrain et des vies. Naakan n'avait plus qu'une seule solution, se défendre. Face à la rage de la nature et la violence meurtrière de l'ennemi, la tribu ne pouvait que fuir dans la forêt. A leur passage, la fleur chaude fanait alors que les éléments continuaient de les poursuivre. Le souffle puissant du ciel fut vite rejoint par des larmes. Une, puis deux, puis des torrents déferlaient du ciel. Il leur en voulait. La colère prit le dessus et des éclairs foudroyant frappèrent la terre d'une puissance encore inconnue. L'eau coulait à torrent entre les arbres. Naakan esquivait les fleurs dansantes, les rivières menaçantes et sautait pour attraper les branches et fuir l'enfer ici-bas. Mais l'enfer était partout, le vent les poussait violemment, secouait les arbres. Le tonnerre secouait les corps frêles fuyant les éclaires terribles qui frappaient le sol. Le peuple abattu par la guerre et la tempête était décimé. Ils quittèrent leur maison brûlante et soumisse face à la fureur de la nature. Ils voyagèrent dans l'espoir d'une terre calme et pleine d'avenir. Un jardin d'Eden leur ouvrit les bras. Ils s'y installèrent entre ces géants feuillus et apaisants. La paix leur souriait enfin après ces drames terribles et naturels. Le peuple se reconstruit vite mais le malheur leur collait à la peau. Dame nature n'en avait pas fini avec eux. La guerre n'était pas pardonnable à ces yeux. Un cataclysme n'était pas satisfaisant. Ils devaient souffrir, apprendre de leur erreur, quitte à rejoindre la terre. Détruisant lentement les corps, se rependant comme un poison dans l'air, la maladie avait été fatale. La nature avait été cruelle, mais autant que l'Homme ?

Voila pour une première interprétation. Dites moi ce que vous en pensez et soyez indulgent il est presque 1h du matin ... 

Je ferais peut-être un poème si j'y arrive ;)

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⏰ Last updated: Dec 15, 2018 ⏰

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