Jean, un rescapé des tranchées

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Chapitre 1: départ
Mon nom est Jean et je suis un rescapé des tranchées. Je suis née au siècle dernier à Paris, dans le 16eme arrondissement. Lorsque mon 17ème anniversaire venait à peine de s'achever, les soldats de l'armée française sont venus me chercher, m'enlever de ma famille et de mes amis. Je n'ai pas eut le temps d'emporter mes affaires, je suis parti les mains vides sans avoir même pu dire au revoir à ma mère et mon père. On m'a assis de force dans leur camionnette dans lequel j'y avais retrouvé mes amis et voisins. Nous étions arrivés sur le camp, nos cheveux ont été rasé, nos vêtement déchiré et tout ce qui pouvait avoir de la valeur, retiré. Il était 20h a peine et c'était l'heure du couché. Nous dormions dans des lits superposés, dont les matelas n'étaient que de simples tapis de sol. Personnes de savaient ce qui nous attendait le lendemain mais nous avions conscience que c'était notre dernière nuit sans ce soucier de la guerre et de la mort.

Chapitre 2: entraînement
Lever 6 heures. Le général secouait des cloches et touts autres objets bruyants pour nous réveillés instantanément. Biensur ça fonctionner. Nous avions exactement dix minutes pour nous préparer. Tous ensemble, pas par pas, avancions vers la porte de sortie. C'est à ce moment là que j'ai compris réellement la souffrance que j'allais endurer. Le premier exercice était simple. Il consistait à traverser un chemin de boue, grimper un mur d'escalade dont les prises étaient rares, puis, cinq kilos sur le dos, sauter des haies de un mètre de haut. Mais le deuxième exercice se montrait plus compliqué. Pour y parvenir il fallait monter sur un barre à la seule force de nos bras pour passer de l'autre côté du parcours qui était une corde à escalader. L'entraînement s'acheva.

          Chapitre 3: premier jour
Aujourd'hui fut un grand jour. Le jour du départ pour les tranchées. Mes compagnons et moi même étions près au combat, prêt à laisser nos famille et nos vie, peut être pour l'éternité. Les tranchées étaient étroites, tellement étroites que l'on ne pouvait pas s'assoir. En un fragment de seconde, trois obus furent lancés. Un en tua l'un d'entre nous qui se trouver au niveau des barbelés. Nos troupes commençaient à partir à toute allure, rien ne pouvez les arrêter sauf des bombes lancés sur leur pieds. Ce fut la fin de cette première journée au front.

  Chapitre 4: dernier jour au front
Cette fois ci, pas de général pour nous réveiller. Le simple bruit des allemands s'approchant et se préparant à l'attaque nous avait levé. Le temps de repos fut moins long que pour le premier jour. Ce jour là , nous étions partis dès l'aube. J'avais en tête deux choses: ma famille et mon ancienne vie. Je pensais à l'abandon prématuré que j'avais commis. Une larme coulait sur ma joue. Elle était chaude et sincère. Je ne pu m'arrêter. La larme continuer de couler le long de mon menton puis, d'un coup, tomba sur la terre creusé. Je tombai avec elle. Je m'effondrai, sans rien comprendre, lorsque je vis au loin l'armée qui avançait et disparaissait peu à peu dans le brouillard. Les allemands, eux, s'avancaient et me vis encore vivant. Biensur il ne pouvait pas me laisser indemne. Leur général saisit son arme et me tira dans la jambe. Je demeurais inconscient jusqu'à mon réveil dans l'hôpital sainte croix.

Chapitre 5: l'hôpital sainte croix
Ou suis-je? Je me suis répété cette phrase jusqu'à ce qu'une infirmière n'entre précipitamment dans ma chambre: «monsieur est réveillé! Monsieur est réveillé! » criait elle sans cesse. Deux autre infirmière entraient toutes heureuses et impatientes. Pourquoi? Je ne le savais pas encore. Elles observaient ma jambe, je me redressai et cherchai de mes yeux endormis mes jambes. Je n'en vis qu'une. A la place de l'autre, un modeste bout de tissu. Je ne comprenais pas ce qu'il se passer. Dans la peur et le manque de compréhension je vomis sur ma table de chevet sur laquelle une carte muni d'une enveloppe signé de mes parents était posé. Je la récupérai et l'observai de plus près. Pendant ce temps, les infirmières nettoyaient le bazars que j'avais pu commettre. Cette première journée dans l'hôpital se termina, la lettre de mes parents entre les mains, je l'ouvrirais quand je serais prêt, prêt à entendre les personnes que j'ai abandonnés.

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⏰ Dernière mise à jour : Dec 27, 2018 ⏰

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