Chapitre 8- Un besoin

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Clint avait besoin de lui, besoin de savoir qu'il était vivant . Aussi ne lacha t-il pas Pietro de tout le temps qu'il avait passé dans le coma.
C'est Natasha,qui,n'en pouvant plus de ne jamais voir l'archer seulement pour les repas qui décida que tout ceci avait assez duré. Ainsi elle pris en embusquade Clint,sur le point de retourner a l'infirmerie et le fit monter un étage plus haut où elle lui demanda simplement d'arrêter ses allés et venus continuel de l'infirmerie. Rajoutant par la même occasion que si Pietro ne voulait pas se réveiller ,il ne fallait pas le forcer . Qu'il fallait le laisser partir si tel était sa décision,mais Clint n'était pas de cette avis et ,les larmes au yeux à cause de ce que venait de dire Natasha,il dit simplement d'une voix presque énervé , rauque,mais tout de même  brisé :
- Tu ne comprends pas ,crois tu vraiment que si ça ne comptait pas pour moi je ferai ça ? J'ai besoin de ça ,de savoir qu'il est vraiment vivant ,qu'il va se réveiller. Il rajouta plus lentement ,j'ai besoin de lui.
L'espionne était mal à l'aise . Cela faisait un bail que l'archer ne lui avait pas parler comme ça ,qu'il n'avait pas été si triste . C'est vrai que ces derniers jours il avait juste le sourire au visage ,les yeux légèrement brumeux mais rien d'alarmant.
Sans compter le fait qu'elle savait de source sûre (merci JARVIS) que l'archer ne faisait rien de mal dans cette infirmerie .
Il s'asseyait près de Pietro ,prenait sa main ,le plus souvent il lui demandait de se réveiller puis le regardait pendant des heures ,carressant quelque fois sa joue ou le dos de sa main.
Mais quelque fois ,l'archer faisait plus que cela ,au lieu de regarder l'endormi après lui avoir demander de se réveiller ,il lui parlait. De comment il se sentait ,de ce qu'il se passait a la tour ou alors d'une vie imaginaire où ils étaient ensemble et où Pietro n'était jamais mort.
Cela troublait fortement l'espionne ,pourquoi ne pas lui parler a elle plutôt qu'à cet homme.
Elle voulait lui dire que peut-être,Pietro ne l'aimait pas et qu'il n'entendait peut-être même pas ce qu'il lui disait à longueur de journée.
Mais elle ne pouvait pas le briser ,pas plus qu'il ne l'était déjà.

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La suite.
J'ai l'impression de l'avoir bâclé même si je l'écrit depuis plusieurs jours,mais bon.

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