« pourquoi tu dis rien hein ? T'as une langue non ? »

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Les heures avaient défilé, nous étions sorti pour respirer le vrai air et nous avions trouvé un petit coin d'herbe ou nous nous étions assis. La pelouse était humide, il avait plut toute la journée, mais ça me dérangé pas. Je faisais des mini collier de marguerites, chose que j'adore faire tandis que Max arrachait machinalement l'herbe. Il avait l'air stressé voir apeuré mais de quoi ? Je lui fais peur peut être ?

J'adore les citations vous l'avez remarqué, est celle la est sûrement ma préférée :

« Des millions de gens ont vu tomber une pomme, Newton est le seul qui se soit demandé pourquoi. » voilà ce que Bernard Baruch a dit. Et cette phrase est magnifique.

Chaque jour tout le monde me regarder, pourtant seul Max c'est demandé qui j'étais.

-Édith, tu vas bien... ? Max venait de me sortir de mes rêves.

-Oui très bien. Je mentais, je n'allai pas bien du tout, je souffrais de son silence.

-Allai, dis moi la vérité, s'il te plaît ? Me supplia t-il.

-Pourquoi tu me dis pas tout ? Le suppliais-je. Il me cachait trop de choses et ça ne faisait que d'empirer. Je veux pas vivre dans le mensonge. On est meilleur ami, on devrait tout savoir l'un de l'autre.

-Mais je t'es dit tout ce que je savais. Me répliqua t-il.

-C'est faux, tu me ment, à moi ta meilleure amie ! Mais pourquoi tout le monde me prend pour une cruche ?

Je me levai en vitesse, mon cœur se déchirait, sa voix devenait amère dans ma tête, je ne le reconnaissais plus. Il devenait un inconnu à mes yeux. Je pouvais plus rester à côté d'un étranger. C'est yeux me fixé encore tandis que je traversai le jardin de l'hôpital en courant.

Mon souffle était cour, et l'air n'arrivait plus à atteindre mes poumons. J'étouffais. Il avait osé. Il ne méritait pas mieux que les autres ! Ils finissent tous par me juger.

Je déteste le monde, on va tous finir par mourir, alors pourquoi tant d'acharnement sur moi ?

Dans les films, la jeune fille coincé et intello fini toujours avec le gars le moins travailleur et qui ce laisse aller. Elle est heureuse et tout se fini comme cela. Lui l'aime pour ces qualités et défauts et la fille de son côté pour son caractère qui la fait devenir celle qu'elle ne montrait pas. Mais ce ne sont que des films, des films qui ne rimes à rien. Au final, je reste telle que je suis. Seule, avec l'impression que je ne sers strictement à rien. Et tout le monde le sais, on est qui on est. La vie nous change et les gens nous brise, c'est la vie. C'est écrit. On a tous une place sur Terre, mais en réalité, il existe des fort et des faibles. Personne ne peut rien y faire. Il y a que la mort qui nous accepte telle que nous sommes. Elle ne fait pas de différences ni de racisme. Mais après tout ma vie ne ce détruit pas à cause de lui, j'ai d'autres amis. Même si nos liens étaient différents qu'avec eux, je dois avancé sans lâché la mains des gens qui me la tendent.

J'avais fini pas rejoindre ma chambre d'hôpital. Le silence devenait mon allié. Je m'allongeai dans mon lit et contemplai le plafond blanc.

Aller t-il me parlait. On ne sait jamais ce qui pourrait ce passer, peut être ce plafond est vivant est il le dit a personne. Peut être que lui aussi a peur. Il deviendrait mon ami, on tous besoin d'un ami plafond, ça peu servir. Et la maintenant, j'en ai besoin, je pourrai lui parler, et lui se contentera de m'écouter. C'est pas mal du tout même. Et je serai sur de ne pas être trahi. Cet ami plafond gardera mes secrets pour toujours, même si je fini par le quitter. J'adore cette idée. J'en ai pas beaucoup mais celle la est la mieux, enfin pour le moment.

Je commençai a lui raconté mon histoire :

-Alors tout d'abord, je suis née le 1 Janvier, date que tu dois absolument te rappelé sinon on est plus amis, ensuite j'ai une sœur, mais ça fait presque 1 an que je ne l'ai pas vu. Elle m'énerve souvent, peut être parce que c'est ma sœur, mais elle réussi dans tout, les amis, les amours et elle est superbe. Bon avant que cela ne me démoralise passons à mes rêves. J'adorerai avoir un destin tracé et faire des choses fabuleuses, je sais je suis un peu narcissique, ensuite je voudrai partir en Australie et y vivre un peut y peu. Et surtout j'aimerai toujours avoir des rêves. Voilà après, on arrive aux amis.

Je dois t'apprendre quelque chose, les veritables amis comme amours, c'est des conneries, ça n'existe pas. Je te conseille de rester là plafond, au moins t'es sur de ne jamais être déçu. Tu n'as pas besoin de prendre de la hauteur pour réfléchir, si oui ou non tu vas être seul. Et je suis très jalouse, comme en ce moment je t'envie. Tu es calme et personne ne te reproche rien. Tu es transparent pour le monde et c'est ta place et personne ne te dit « et la le plafond va te mettre ailleurs » ou « pourquoi tu dis rien hein ? T'as une langue non ? »

La porte s'ouvrit, et à l'instant même ou je vis mes parents franchir la porte, je me senti honteuse de parler au plafond.

J'ai toujours détesté que toute l'attention soit porté sur moi. Ma mère me serra dans ses bras et mon père m'embrassa le front. Leurs regards étaient triste mais rempli d'amour. Je ne voulai pas quand me pose encore les questions « comment tu te sens ? » ou «  qu'est ce qui c'est passé » ou les réflexions comme « Tu m'as fait une sacrée peur » « ne refait plus jamais ça ». J'en pouvais plus alors c'est moi qui est commencé la discussion afin de savoir comment c'était dérouler leurs voyage. Ma mère m'expliquait que c'était magnifique, et qu'elle serait bien rester une semaine de plus si... La, il y a eu se moment gênant ou plus personne parlaient. Mon père nous libéra de se moment en me donnant le cadeau qu'ils m'avaient apporté. Je l'ouvris, c'était un bracelet en perle beige magnifique. Je le passa à mon poignet gauche. Ils me souriaient et ça me faisait sourire.

-Tu veux que je reste dormir avec toi ? Me demanda ma mère.

-Oh maman, non rentre avec papa. Reposez vous, vous en avez besoin. Je vais bien, je te jure.

Elle me regarda et me remercia d'un signe de tête. Ils avaient l'air tellement fatigué. Et en se moment précis la présence de quiconque ne faisait que de m’agacer.

Ils me laissèrent, peut être à contre cœur mais ils ne voulait pas aller contre mon gréait. Mes parents sorti.

Je me contre dit moi même, mais la présence des gens m’énerve vite et je déteste aussi être seule.

Je dois avancé et je ne suis pas seule, personne n'est seule même si sans lui j'ai toujours l'impression d'être rien. Il a mis en moi de l'importance. C'est comme un peintre, il met toute sa vie sur sa toile et une toile sans l'histoire de son créateur n'est rien qu'un chiffon.

Si l'on se rabaisse chaque fois qu'on perd une pièce on risque de ne plus voir le bout du chemin.

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Waoh, merci beaucoup pour les 225 lectures, j' espère que ça vous plait. Laissez des commentaires, si c'est bien ou pas. 

Merci encore .... <3 <3

Sauves moiOù les histoires vivent. Découvrez maintenant