Je m'appelle Jivy Rodney j'ai 18 ans et je suis le fils de la célèbre Rémy Rodney, une écrivaine connu dans le monde entier mais plus ici, dans la Massachusetts. Elle a publié de nombreux romans qui sont devenu des best-seller. Je suis heureux pour elle mais ça fais que je suis très connu, pour rien. Seulement parce que je suis son fils.
«- Jivy !»
Je soupire et me lève de mon lit, je prends mon sac et descend pour rejoindre ma mère. Elle m'embrasse la joue et on va à la voiture.
«- Tout vas bien ce passer aujourd'hui ? Demande t-elle
- Je suppose, j'hausse les épaules. Je n'en sais rien pour dire vrai.
- Regarde moi chéri.
- Maman ! Je soupire et tourne la tête vers elle
- Si il y a des problèmes à l'université tu me le dis. C'est entendu ?
- Maman, tout vas parfaitement bien. Toute les filles me tournent autour, les mecs aussi, ils me respectent. Je suis la meilleure personne du bâtiment d'après eux. Grace à toi maman alors oui, ça va.»
Je reporte mon regard sur la route, je sais que je suis allez trop fort avec elle parce que j'entends son souffle irrégulier. Alors je m'en veut tout de suite, je me tourne vers elle et je vois qu'elle mord sa lèvre inférieur.
«- Je suis désolée Jivy, ce n'est pas ce que j'aurai voulut pour toi.
- Maman, ça va. Tu n'y peux rien tu fais seulement ce que tu aimes.»
Je lui souris doucement. Parce que c'est vrai après tout et qu'est-ce que je pourrai y changer ? Je ne vais pas demander à ma mère d'arrêter de faire ce qu'elle aime. Ça serait irrespectueux mais surtout très égoïste. Surtout qu'elle rends beaucoup de gens heureux avec ce qu'elle écrit. C'est moi qui gère son twitter, elle n'a pas le temps pour ça et puis elle me fait confiance.
Je vois souvent des fans, des filles surtout mais il y a quand même des mecs, qui laisse des messages vraiment gentil. Je les dit à ma mère à chaque fois parce que j'adore voir ses yeux pétiller de bonheur et d'émotion.
«- On est arriver mon cœur.»
Je tourne la tête vers ma mère en fronçant les sourcils et elle rit parce qu'elle sait que je n'aime plus qu'elle m'appelle comme ça ou qu'elle utilise des petits surnoms. Je fini par secouer la tête, embrasser sa joue et sortir de la voiture.
Nous sommes à la fin du deuxième trimestre scolaire et les cours sont plus dur qu'au début de l'année. À peine sortit de ma voiture Eloy mon meilleur ami me saute dessus, Eloy est un peu le seul réel ami que j'ai, il me comprend sur tout, il sait me faire rire comme pleuré mais ce qui me plait le plus chez lui, c'est qu'il n'en a rien à foutre de la célébrité de ma mère.
«- Alors chéri ! Bien dormis ? Bien manger ? T'es pleins comme une pute je pari !»
Je m'arrête et le regarde tout en plissant les yeux. Je fais un sourire compatissant et pose ma main sur son épaules.
«- Ça va allez Elélé. Ça va allez.
- Mais la ferme Jivyni criquet !
- Jiminy criquet idiot.»
Il ouvre la bouche faussement choqué et me fait un doigt d'honneur. Je ris et le prends par le coudes, plusieurs filles passent, souriant comme des débiles en me regardant. Je ris, passe ma main dans mes cheveux châtain clair et leurs fais un clin d'œil. Parce que oui, après tout pourquoi ne pas en jouer ?