Amour impossible

le coup de foudre

Amour impossible, épisode3 :
Auteur : Josias Ciruis Zougou

Un quart d’heure a suffit pour parcourir les 800 mètres de distance et déposer délicatement ma chère maman alias gros BB chez Linda l’esthéticienne. A l’arrivée je peux lire  *Linda’s esthétique  pédicure, manucure,* etc
Maman : mon garçon merci pour le transport, au retour je prendrai un zem
Moi : d’accord maman, au fait je, je voulais un peu d’argent pour…
Maman : hum, ou bien dis simplement que tu veux que je te paye ton argent de transport
Moi : Non maman, juste  pour quelques courses de dernières minutes
Maman : Boff, je peux rien refuser à mon ange quand même mais allons à l’intérieur puisque je n’ouvrirai pas mon sac ici dehors, sous les regards indiscrets, je ne suis pas aussi costaud comme toi pour me défendre au cas où…
Moi : umm, maman, oki oki, entrons à l’intérieur
C’est une grande salle, climatisée, bien illuminée. A notre arrivée
Filles apprentis : bonjour tanti, bonjour tata, bonjour grand frère etc….
Moi : oui salut, avec un air désintéressé
Maman : oui salut les filles, et la patronne ?
Filles apprentis : elle est de l’autre coté tata

Maman alla donc la rejoindre, elle m’a oublié on dirait hein, je la suis pour l’appeler quand
Linda : oh bonne arrivée ma chérie.  
Linda est une grande dame belle, imposante qui s’y connait bien dans son métier
Maman : Salut ma chérie : une bizz, deux et puis trois……
je commençais à être impatient
Linda lança soudainement : ééh, toi tu ne salues pas les gens, imbécile, viens ici et tire moi une chaise là, ne sais-tu pas qu’on prends soin des clients ??, hypocrites va…..
La personne en question tourne……..Merde, qu’est-ce que c’est, walai, mon cœur vient de tomber dans mon ventre, j’ai senti un courant d’air traversé mon corps avec des frissons à n’en plus dire.   Mais putain…….elle était au top si je peux dire, yeux marrons, teint pas trop noir, plutôt bronzé, élancé en taille avec des seins en formes d’oranges mures……Vraiment tout était bien arrondi sur elle, surtout dans sa tenue de travail. Je me demande alors que fais une beauté pareille dans une maison d’apprentissage ? Pourquoi ne pas étudier et devenir hyper intelligente pour que nous qui avons travaillé et étudier puisse les choper ??  Bon bref je la regardais seulement, j’ai presqu’oublié mon argent anh
Alice c’est son nom…… j’entends Lili fait vite..Elle le même surnom que ma petite sœur
Au moment de me saluer, elle me fixa cinq bonnes seconde dans les yeux, je vous jure le temps c’était arrêté, mon cœur battait jusqu’à se rompre. Enfin
Alice : bonjour grand-frère
J’ai eus peine à répondre, tant mon cœur battait, j’ai faillit oublié ce qu’on  répondait quand on disait bonjour
Moi : euh, eh, oui oui, salut,……………………..ce que j’ai remarqué c’est qu’elle n’est pas illuminé comme les autres filles, elle est plutôt pale, mais belle, je n’en pouvais plus, je fis……..Maman : les ………
Maman me tendit alors rapidement 10000F et dit
Maman : voilà hein chauffeur, comme je te paie maintenant là
Je pouvais même plus répondre, tellement ma langue étai lié…..je tourne puis
Au moment de partir
Maman : garçon même pas une bizz ?  hum, c’est pas ton genre hein, qu’est-ce qui va pas ??
Moi : non non, rien maman, puis je la fis sa bizz et je trace… de l’autre coté il y avait les autres filles qui ne travaillaient pas tous, d’autres s’occupaient à rien du tout, plaisanteries, bavardages, etc….Mais pourquoi il faut que Alice elle soit là bas à travailler et faire des choses qui ne sont même pas du domaine de l’apprentissage pendant que les autres filles sont là à jacasser ??? Au dehors, je n’arrivais pas à sortir son portrait de ma tète, je me rappelle de sa lénitive voix et de sa tète  quand elle me disait bonjour grand-frère, puis je sentis des frissons traversé mon corps. Je ne sais pas ce qui se passe. Mais en tout cas je ne suis pas un coureur de jupon donc je dois chasser ce qui m’arrive, ça n’a pas de sens………..mais est-ce une chose normale ou une chose bizarre, ce qui est sûr, laissons Dieu à travers le temps et les évènements décider à notre place. Je pris ma moto, doucement je conduisais, je n’étais plus le Martin qui courait à moto, je me rappelais de son image, pourquoi est-elle maltraité ainsi ?    Que fait-elle là ?? Et pourquoi je m’inquiète pour elle aussi tant….C’est plonger dans ces réflexions que je viens chez Dave mon pote…..en tout cas, on est là