OS 4 partie 2

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Zoro : j'ai un truc qui pourrais être bien comme activité...

PDV Sanji

Il se rapproche... je recule instinctivement mais il me bloque contre le meuble à côté du lavabo. C'est hyper bizarre, cette position est hyper gênante ! Il a mit ses deux bras autour de moi pour m'empêcher de partir et une de ses jambes est entre les miennes.

Sanji : ohé le cactus, t-tu fais quoi la ?...

Ma voix n'y était pas du tout, j'ai dit ça avec un tout petit ton. Il se rapproche encore plus de mon visage je sens son souffle chaud contre mon visage, ne me dite pas qu'il ?!

Sanji : Z-zoro

Il s'arrête pas, mon dieu qu'est-ce qu'il compte faire ?! Non non non !
Ses lèvres on a peine effleurer les miennes qu'il dévie de trajectoire et sa tête tombe contre mon épaule. J'ai les joues qui chauffent comme pas possible, c'était quoi ça ?...
Je l'entends  murmurer

Zoro : Non...je ne peux pas...

Sanji : hein?...

Il ne me répond pas et se barre comme si de rien était, enfin presque... j'aperçus son visage avant qu'il ne parte, il avais l'air détruit... vraiment... il ce passe quoi en ce moment ?...

-le lendemain-

Génial, vraiment super ! J'ai toujours pas de clopes et en plus de se problèmes, il y a le cas tête d'algue qui se rajoute ! Comme si j'en avais pas assez. Depuis cette soirée j'ai l'impression que le cactus m'évite un peu. C'est pas pour me déplaire mais bon comment dire... nos disputes m'aide à destresser... il n'y a qu'avec lui où je peux me battre sans me retenir, bien sûr on n'y va pas à fond mais c'est un bon calmant. Et puis, c'est une façon de montrer nôtres respect l'un envers l'autre qu'on ne diras jamais à voix haute par pure fierté.
J'ai un peu de temps avant que le repas est finis de cuire. Je vais en profiter pour aller le chercher un peu... ça ne me fera pas de mal, et puis il ne pourras pas éviter une petite bataille non ? Je me dirige vers le pont du sunny près du mat, l'un des endroits fétiche du sabreur pour faire sa sieste d'avant dîner habituelle. Quelle ne fu pas ma surprise de le trouver exactement là, poser contre le mat, en train de ronfler, ses sabres dans les bras poser contre son épaule. Comme à mon habitude je le réveil, d'une façon... bon ok violente mais il commence à avoir l'habitude. Il sursaute se tenant le ventre puis se relève tout sabres dehors, son regard est un peu plus dur que d'habitude mais je n'y prête pas plus d'attention. Avec un soupir il range ses sabres ce qui par contre m'étonne.

Zoro : c'est l'heure de manger c'est ça ?

Mes yeux doivent être aussi grand que des soucoupes, c'est la première fois qu'il agit comme ça.

Sanji : non.

Zoro : de quoi ?

Je tente une pique.

Sanji : je voulais vérifié si tu étais aussi robuste que tu le prétend mais apparement rien qu'un petit coup de pied a réussi à te faire mal, ça me déçois.

Bon ok, c'était pas super bien comme provocation mais j'aurais essayé, de toute façon il en faut peu pour énervé cette tête d'algue.

Zoro : vraiment ? Tu m'en vois désolé, Cook. Je pourrais pas flatter ton égo alors.

Il passe à côté de moi. Et se dirige vers l'arrière du pont.
Il me laisse en plan ?! Comme ça ?! C'est une vaste blague là ? Non... il ne m'a pas foutu un vent la ? L'enflure...
Super je suis encore plus énerver et bien sûr je n'ai pas ma drogue pour me calmer ! Je fou un coup de pied dans le mat pour extérioriser ma rage, encore et encore toujours plus fort. Le poteau de bois tremble sous mes coups, j'entends des pas affolé se diriger vers moi.

Franky : Sanji !!! Arrête !!! C'est pas suuuuuuper de faire ça ! C'est pas toi qui le répare après !

Il stoppe mon pied et m'envoi paître ailleurs. Je marche énervé vers ma cuisine et claque la porte. Merde je recommence à trembler. Je prend rapidement mes calmants et appel les autres à table. Pour une fois le sabreur arrive en même temps que les autres et ne m'adresse pas même un regard. Pendant le repas je m'occupe de mes déesses comme à mon habitude sans parfois sentir un regard et des grognements derrière moi mais je n'y fais pas attention. Le repas se passa sans autres difficultés. A la fin tout le monde sors sauf Chopper qui me demande si j'ai fais beaucoup de crise et si je tenais le coup. Je lui ai raconté mes tremblements. Il m'a dit d'essayer de trouver une nouvelle activité pour me passer de la cigarette, comme m'entraîner avec Zoro, sauf que ça va pas être possible, déjà il faudrait que Monsieur arrête de m'éviter et puis je n'ai aucune envie de m'entraîner avec un gorille puant. Il finit par retourner dans son infirmerie. Et je commence à faire la vaisselle. Après quelque heures je reste encore dans la cuisine pour écrire et chercher de nouvelle recette. C'est une activité que je fais souvent le soir, j'écris toute mes idées et recette dans un carnet. C'est un peu mon passe temps du soir. Je suis dérangé dans mon écriture par la porte qui s'ouvre sur un sabreur en sueur, torse nu, une serviette autour du cou. Je le regarde et attend le mot qu'il me lance à chaque fois quand il vient après un entraînement.

Zoro : saké.

Sanji : va le chercher tout seul ! T'as mère t'as fais des jambes c'est pas pour rien !

J'eu pour toute réponse un grognement . Il se dirige vers le petit placard où est ranger notre réserve d'alcool. Puis au lieu de partir comme à son habitude il s'assoie en face de moi à la table. Je le regarde avec une sourcil arqué. Il ne me regarde pas et bois à la bouteille entamant une bonne moitié. Je hausse les épaules et me remet à écrire. Dès que je baisse la tête je sens son regard sur moi. Après quelque minutes de silence il ouvre enfin la bouche.

Zoro : tu fais quoi ?

Sanji : j'écris.

Zoro : tu écris quoi ?

Sanji : des idées de recette.

Zoro : hum.

Le silence retombe dans la pièce. Il pose la bouteille se lève et retourne en chercher une nouvelle et se rassoie. Je le regarde en train d'ouvrir une nouvelle bouteille d'alcool.

Sanji : t'as pas l'impression d'abuser ?

Zoro : ça va, je tiens bien l'alcool.

Sanji : j'parle pas de ça du con, depuis quand tu prend deux bouteilles de saké? C'est une pas plus.

Zoro : c'est bon arrête de faire chier. On en a encore plein !
Dit-il en buvant la moitié de la bouteille d'un air provocateur.

Sanji : sauf qu'avec toi toute la réserve peut y passer en une soirée. Alors tu va me faire le plaisir de lâcher cette bouteille Marimo.

Il soupir, finis la bouteille et va la poser près de l'évier. Je pensais qu'il allait partir mais il se poste derrière moi. Le silence toujours aussi pesant. Il fais quoi la ? Quand je sens ses grandes mains robustes venir se poser sur mes épaules. Je relève la tête et la tourne vers lui. Ses yeux était comme absorbé, j'avais l'impression que son regard me transperçais de part en part. Il se rapproche de mon visage, ses yeux dans les miens. Puis murmure

Zoro : désolé Sanji... mais je ne peux pas m'en empêcher...

J'allais lui demander de quoi il parlait quand il posa ses lèvres sur les miennes , mes yeux s'écarquillent à se contact complètement inattendu, il commence à mouvoir ses lèvres. Il a les yeux fermés... et à une expression sur son visage... c'est comme si il se retenais depuis des années de m'embrasser.
J'essaye de le repousser, mais je n'y arrive pas, qu'est-ce qui lui prend ?!
Il finit par se détacher, je le regarde plein de question. Il reste stoïque quelque seconde et se barre.
C'était quoi ça encore ?...

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Désolé pour le grand retard à sortir cette suite mais la voilà, et je trouve qu'elle est bien. Vous m'en direz des nouvelles ! Sur ce je vous laisse !
Il y aura une partie trois sur cet OS ne vous inquiétez pas !

OS Zosan Où les histoires vivent. Découvrez maintenant