Le tarot

Chapitre 1 : IV L'empereur.

               La matinée venait de commencer, il devait être cinq heures du matin, il faisait nuit avec une point de jour. La lumière d'une chambre de bonne, perturbe le calme de se paysage nocturne. Au travers des vitres on pouvait voir une petite fille d'environs dix ans. Elle ouvrit la fenêtre, et regarda le soleil droit dans les yeux. Elle n'était pas censée être éveillé à cette heure, sa sœur et son frère dormais dans les chambres a coté ses parents aussi, mais pas elle, elle regardait le lever du soleil. Ses yeux vert reflété les couleurs du ciel prenant des aspects bleutés. Elle le regardait paisiblement quand un mouvement dans la fenêtre d'en face attira sont regard, un garçon qui devait avoir a peut près le même âge qu'elle regardait lui aussi le ciel. Les rues de cette ville étaient si étroites que s'ils étaient plus grands il pourrait facilement se toucher le bout des doigts. Dans la rue de nombreuse personne tendait des fils et y accrocher leur linge.

Les deux enfants se regardèrent dans les yeux, le jeune garçon lui fit un signe de la main pour lui dire bonjour. Elle lui sourit avant d'entendre un bruit provenant de la chambre de ses parents, elle se précipita silencieusement dans son lit. Elle n'entendait pas le bruit de la porte, mais trop terrifier par le fait de se faire prendre entrain de ne pas dormir, elle fit semblant de le faire, jusqu'à ce que Morphée la prenne vraiment dans ses bras.

- « Céleste. Réveille-toi, habille-toi, il est temps de prendre ton petit déjeuner, avant ton cours de couture »

La jeune fille ouvrit les yeux, elle regarda la personne qui lui adressait la parole, c'était sa mère, elle était début droite éloigner du lit, elle la regardait froidement. Céleste se leva, elle alla chercher sa tenue, sa mère qui la regardait toujours lui fit un non de la tête et finit par s'approcher elle lui sortit une robe blanche avec des volants.

- « met celle-là nous attendons des invités de marques se midi qui déterminerons le futur de ton frère. Et je refuse que tu le gâche en étant laide.

-très bien mère, dit-elle perdant le sourire sur son visage. »

Sa mère sortis de la chambre, elle commença à s'habiller et tous d'un coup elle décida d'aller voir a la fenêtre si le jeune garçons y été toujours, il n'y était plus mais elle pouvait voir une femme ouvrir ses volets, elle semblait triste, elle portait un enfant dans ses bras. Céleste finit de s'habiller puis se dirigea vers la salle à manger ou son assiette et sa sœur l'attendait. Elle lui sourit et quand céleste s'assit a coté d'elle elle lui chuchota.

- « t'inquiète je t'ai pris un bout de pain, Éric a faillit me démasqué, mais bon il est trop bête pour différencier une fourmi d'un papillon alors je lui est juste dis que maman avait décidé de nous laisser en prendre.

-merci c'est gentil, tu voudras qu'on joue ce matin, j'ai piqué un livre à Éric on pourra inventer un jeu. »

Pour comprendre le malheur profond de la plupart des femmes de cette histoire il faut comprendre l'environnement dans lequel elles vivent. La cité d'Eleutheria, est une cité gouvernée par l'empereur autoproclamé Athos. Plusieurs des règles de se pays concerne les femmes :

-tous d'abords une jeune fille n'a le droit a un accès a l'éducation que dans sa maison, et il consiste simplement à apprendre le fondement de la lecture et du calcule, afin de pouvoir faire les achats familiaux, et tous ce qui est art de vivre, ménage, bonne manière. Que des manières ne leur permettant pas de vivre sans un homme.

-Une femme doit être marier avant ses 20 ans, et avoir eu si possible un enfant avant ses 25 ans, si la femme est infertile elle sera amenée à l'hôpital psychiatrique. Le gouvernement considérant que l'infertilité et du a une rébellion de l'esprit (on n'accusera jamais un homme d'infertilité).