Cythère

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Un pavillon à claire-voies

Abrite doucement nos joies

Qu'éventent des rosiers amies ;


L'odeur des roses, faible, grâce

Au vent léger d'été qui passe,

Se mêle aux parfum qu'elle a mis ;


Comme ses yeux l'avaient promis,

Son courage est grand et sa lèvre

Communique une exquise fièvre ;


Et l'Amour comblant tout, hormis

La faim, sorbet et confitures

Nous préservent des courbatures.



Photo : passage couvert au Petit Trianon

Verlaine et les jardins de VersaillesWhere stories live. Discover now