---Chapitre 4---

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Lisez le commentaire à la fin s'il vous plait.

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À la voix de l'infirmière on voyait, enfin on entendait qu'elle était sous le choc. Un moment j'ai eu peur pour elle mais qu'un moment parceque Peter a repris:

-Oh... non ce n'est rien je suis un traitement pour mon diabète. Vous ne pensiez quand même pas que j'allais lui injecter ça?!

Elle lacha un soupir de soulagement. Quelle guenille, il l'avait eu comme ça, nan mais sérieux! Je vais me faire tuer et elle pouf elle fait rien...

Ses pas contournèrent le lit et je crois bien qu'elle vérifiait mes branchement.

Il fallait que je me réveille et que je la prévienne.

Je me concentrais sur les parties de mon corps me remémorer comment je faisait bouger mes doigts, mes mains, mes bras... tout mon corps et comme s'il ne suffisait que de ça je senti mes muscles fonctionnaient et je réussi à m'asseoir. alleluia! j'ai réussi. Je rouvrais les yeux et cette fois voyait la chambre où je me trouvai. Elle était blanche avec des bout de vert je sais pas quoi montrant bien un hôpital. Autour du lit divers appareil dont je n'aurai pas sut donner le nom. À ma droite un lit vide et à ma gauche un lit pliant. Devant mon lit une petite table avec un pôt de fleur et quelques livres et cartes. Peter était à ma gauche et l'infirmière à ma droite. Je me tournai vers elle pour l'avertir du danger mais elle semblit pas entendre elle était rivé sur les appareil et ne semblait pas s'être rendu compte que je m'étais réveillé. J'avancé ma main pour lui attrapé l'épaule mais je la traversais. Je n'étais pas réveillé! C'était bizarre de ce dire ça mais on aurait dit que mon esprit était sorti de mon corps. Qu'allait il arrivé à ce dernier. Est-ce que mort corps allait s'éteindre peu à peu ou resterait il en vie? Tant de question qui resterait sans réponse jusqu'à la fin.

Je restai comme ça pensive un petit bout de temps et après mur réflexion décida d'essayer de me lever et de marcher un peu. Voir un peu à quoi ressemblait l'hôpital et si jamais par le plus grand des hasards je croisais quelqu'un comme moi cela ne me dérangerai pas au contraire. Peut-être que lui en saurait plus sur ce qu'il m'arrive.

Après beaucoup d'hésitation je fini par sortir de la chambre, de toute façon si Peter voulait me tuer je ne pourrai rien faire.

Le couloir était très clair. des infirmières allaient venaient entraient dans une chambre sortait d'une autre. Assis sur une chaise deux jeunes de mon âges pleuraient devant un médecin tentait de les apaisait même s'il savait que ça ne servait à rien. Les murs voulaient que l'on se sente bien alors que les personnes qui l'occupaient n'arrivaient qu'à nous rendre triste.

Quand je passait à côté des gens ils ne me voyaient pas, ne se rendait même pas compte de ma présence. Ce côté de la chose commençait de plus en plus à me plaire. Je pouvais faire ce que je voulais sans que personne ne me dise quoi faire. Tout ceci était la liberté tel que j'en rêvait.

J'entrais dans plusieurs chambre, sans m'attarder quand je voyait que le où la malade était réveillé, en sortant de certaine chambre je leur souhaitait bonne chance et ils en avaient besoin. Parfois quand j'entrais la personne était endormi et arborait un sourir béat

Je n'ai pu voir qu'une personne dans le coma, j'attendis un peu avant de sortir cet fois ci. Au cas où son esprit débarquerai mais rien. C'était un enfant et j'aurai pensé que sa famille serait la mais rien il demeurait la immobile seul au monde. Dans un corps si fragile si petit. Il n'avait vraiment pas eu de chance celui la. Il devait avoir 11-12 grand maximum. Depuis combien de temps était il la? Que lui était il arrive?

Sur le chemin du retour, alors que je montai dans l'ascenseur et que les portes se refermaient une jeune femme me cria de bloquer la porte. Elle entrait dans l'ascenseur et je me demandai si elle me voyait ou si elle avait juste dis ça par réflexe.

Mais elle finit par rompre le silence.

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Salut, comme tout le monde me sait les cours ont repris. Donc les chapitres vont se faire sûrement très espacé, alors soyez patient.

Comme toujours s'il vous plait commentez, aimez, montrez moi que je peux continuer l'histoire parce que la j'ai plutôt l'impression d'écrire tout ça pour rien. Donc n'hésiter pas à faire connaître mon histoire.

EllieOù les histoires vivent. Découvrez maintenant