prólogo

189 8 1
                                    


Tu avais la clé qui détenait mon coeur,

Le geste, la caresse qui épousait mes courbes.

Tes yeux verts qui m'envoûtaient et tes lèvres qui m'appelaient.

Ton souffle chaud sur ma peau hérissée,
Et ton regard désireux.

Embrasse mon corps comme tu as embrassé mon âme.
Jusqu'à épuisement, jusqu'à la mort.

Et dis moi que tu m'aimes.
Jusqu'à ton dernier souffle.
————

en espérant que vous
apprécieriez cette histoire,
c'est le reflet de la mienne.
M.

embrasse mon corps -Où les histoires vivent. Découvrez maintenant