Alors oui, je me déteste aussi bien bien physiquement que mentalement. C'est un fait, que je partage peut être avec d'autres personnes.
Tout d'abord, physiquement. Premièrement, je suis un homme, un être humain, l'une des plus villes créatures qui ai jamais existé. Rien que pour ça, je me déteste déjà pas mal. Pour continuer, je ne suis pas beau du tout. Certes un avis personnel, mais je me trouve répugnant, rien qu'à me regarder dans la glace. Je ne suis que peu souriant, soit plus de 50% de la journée où je fais la gueule. C'est ma figure normale. Des tas d'imperfections composent mon corps à un tel point qu'il n'y reste plus que ça.
Alors j'ai bien essayer de me former, de limiter la casse disons le. Je me trouvais gros (dans la norme de mon âge), j'ai fait un régime (qui me laisse actuellement en sous-poids). Aussi, j'ai fait de la musculation. Je commence à m'épiler. Mais disons que le résultat voulu, n'est qu'une utopie. Je me stabilise avec un corps normal, acceptable, pour contenir un esprit encore pire.
Au niveau de l'esprit maintenant. Je pense que c'est le point que je déteste le plus chez moi. Pour commencer, mon côté procrastinateur, qui me force à en faire le moins possible et toujours au dernier moment, qui détruit tout simplement mon avenir. Il y a aussi, le côté pervers de ma personne, qui est sacrément dérangeant et m'empêche de penser sérieusement dans plusieurs situation. C'est à cause de ses heures à regarder des choses obscène, que mon comportement peut varier d'être normal ou agressif auprès des femelles de mon espèce. Mon côté sombre, qui s'est forgé dans l'ombre de mon côté joyeux. Cette Némésis qui me torture et me ronge au plus profond de moi, dont je ne peux plus me débarrasser. Mes pratiques de manipulation, visant à soumettre les autres à mes envies sans leur consentement. Et la liste est encore longue... Seulement, c'est juste un résumer des grandes idées sur le fait que je me déteste moralement parlant.
Pour soigner ça, j'ai dû me forcer. La réalité m'a sortie de ma torpeur et m'a poignardé dans le ventre. Je change, m'adapte afin que je ne sois pas éliminé par la sélection naturelle, car disons le haut et fort : je suis faible...
Pour les personnes sceptiques, sachez qu'écrire ces réalités sur moi me soulage et me fait le plus grand bien, tout en sachant que je suis parfaitement conscient en consentant avec ce que j'écris.
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Comment je fonctionne
SpiritualMécanismes simples et compliqués d'un druide particulier. Une liberté d'écriture par rapport à mes habitudes.