Je l'avais tuer mais elle respirait encore.
Cette passion n'était qu'éphémère.
Elle m'aimait, je l'a détestée.
Une victime de plus. Un hommage en plus.
Je tue pour mon plaisir. Pour ma satisfaction personnel qui c'est transformé en satisfaction meurtrière.
Les battements de son cœur accélèrer comme toutes les autres. Elle avait peur de moi.
Peur de se que je pouvait lui faire.
Mon sourire, digne d'un pervers narcissique fesait peur même les plus grand.
Mon regard remplit de désir devant un corp qui se préparait à mourir.
Mes mains qui tremblaient de plaisir semblable a un psychopathe.
Je l'aimais. Je l'aimais car je l'avais tuée.
Grâce à elle, mes tremblements prendront fin pendant un petit moment.
C'était un besoin vital. Sans ma dose de crime je pourrais m'attaquer a n'importe qui. Mais surtout a n'importe quoi.
Psychopathe un jour, psychopathe toujours.
