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Je suis le garçon le plus populaire de mon bahut, ici personne ne juge personne. Quand à moi, je suis gay mais personne ne le sais, selon eux je suis le parfait hétérosexuel. Seuls ma meilleure amie et mon meilleur ami savent que je mens à tout le monde.

Personne me jugerais certes, mais je suis pas encore prêt. J'ai même une petite amie.

Les autres cours sont tellement long, on nous a informé qu' un nouveau devait arrivé, je me demande comment il est. Nan en fait je m'en fou. La cloche sonne, je range mes affaires, et pars en direction du prochain cours.

Je m'assoie à ma place habituel observant chaque personne qui entre. Tient, le prof a l'air heureux, c'est rare.

«-Bien tout le monde, je vous demande de bien vouloir accueillir avec tout le respect que vous pouvez, notre nouvel élève Néo.

-Enchanté, je suis Néo Cook. »

Il a regard si vide et froid. Toutes les filles.. leurs hormones s'excite rien qu' à le voir. Pitoyable.

Il a les cheveux noir corbeau, taille moyenne, corps un peu musclé, yeux bleu/gris, la peau blanche. OK il est bandant de ouf. Qu'est ce que je raconte faut que je me calme je suis à l'école.

« -Tu peux décaler ton sac s'il te plaît ? Ça voix est grave et douce à la fois.

-Oui vas-y. Je m'appelle Nick.

-Je me rappelle t'avoir demandé ton prénom.»

OK je vois pas très sociable, par contre ce mec est un appel au viol clairement.

Je passe le reste de l'heure à le regarder dormir. Absolument craquant. Faut que je me reprenne. Je vais aller voir Valentine, je pense que ça va me calmé.

La sonnerie retentit, je m'enfuis oui je m'enfuis carrément de la salle. J'aperçois vite ma copine et l'embrasse. Fais chier ça ne me fait rien. Aller faut sourire.

« -Ça va n'amour? Oh à part que j'ai limite bandé sur le nouveau oui.

- Évidemment mon amour on sèche j'ai envie de sortir avec toi.

-Évidemment. »

On partie donc. Je dois m'éloigner.

Une fois arrivé au centre commercial à 20 min de l'école, elle m'emmène dans différents magasins, je m'ennuie à mourir. Je me demande si il aime faire les magasins. Nan je m'en fou.

La tournée fini, je lui offre le repas du midi et on retourne au lycée, je suis calme donc ça devrait allé.

Je rentre en retard en cours, me faisant tuer du regard par mes deux meilleurs amis et le prof. Oups.
Je tourne la tête vers ma place, c'est une blague ? Pourquoi il est à coter de moi ? Fait chier.

Je m'installe, et fait tout mon possible pour ne pas poser mon regard sur lui.

« -On aurait dit que tu voulais t'enfuir tout à l'heure, c'était drôle. Son rire mélangé à sa voix. Nan je dois me contrôler.

-Oui je devais rejoindre ma copine. Mon sourire est le reflet de l'hypocrite que je suis.

-Oh t'as donc une copine, très intéressant. Intéressant ?

-Pourquoi intéressant ?

-Vu l'érection que je suis capable de provoqué rien qu'en dormant, je n'imagine pas si je venais à t'embrasser sauvagement ou gentiment.

Je rêve ? Nan c'est impossible. Il à pas pu la voir. Nan. Nan. Nan.

-De quoi tu parle ? Je suis pas gay donc c'est impossible.

-~Hum~ t'es sûr de toi ? A quoi il joue ? Avec cette voix..

-B..bi..bien sûr que oui. Merde.

-Alors explique moi pourquoi ton entre-jambe me dit le contraire. »

Je regarde et.. merde fait chier. Je pars de la salle sous le crie du professeur. Comment ? J'ai appris à me contrôlé c'est pas possible. C'est quoi ce gars.

Je pars donc au toilette et je me soulage. Choses faites, je me nettoie les mains.

« -Alors même quand on n'est pas gay, on peut avoir des pulsions incontrôlables. »

Je n'ai même pas eu le temps de répondre, il a déjà pris possession de mes lèvres. Je veux le repousser. J'y arrive pas. Pourquoi ? C'est trop bon j'en veux encore plus.

Je demande la permission d'accès à l'intérieur de ça bouche qu'il me donne aussi tôt. J'entame un bal endiablé entre nos deux muscles roses. L'un cherchant à dominé l'autre. C'est beaucoup trop, je sens mon bas ventre me brûlé. Par manque d'oxygène on se sépare. La vue est incroyable, il a encore un peu de bave sur le coin de la bouche. Je le veux. Nan. Je.. je.. je le veux pas. Si entièrement.

Perdu dans mes pensées. J'entends juste ses quelques mots : « Je te veux et je t'aurais. »

3 semaine c'est longOù les histoires vivent. Découvrez maintenant