Enchaîné à la vie

Le lac

Cela fesait 2 bonnes heures que Phénix regardait ce lac inlassablement, hésitant encore et toujours à se noyer à l'intérieur.

Voila quelques milliers d'années qu'elle venait chaque jours devant ce lac soit pour dessiner, pleurer sous cette énorme Saule Pleureur caché derrière ses longues branches brunes, chanter son désespoir à l'arbre et aux lucioles le soir ou tenter encore une fois un suicide volontaire.

Un suicide résoudrerait tous ses problèmes: plus besoins de voir le vie mortelle disparaitre, ne plus avoir tout ces souvenirs de guerre et de sang, ne plus ressentir la douleur, de toute façon elle ne manquera à personne... enfin presque à personne...

Ink son seul et unique ami de toujours qui lui aussi vie pour l'éternité malgré qu'il puisse mourir plus facilement mais il n'en a pas le droit comparé à elle.

Toujours debout toujours vivante, les pieds bien encré dans le gazon, ne pouvant pas bougé à cause de son combat intérieur entre sa partie humaine ne pouvant plus supporter toute cette pression, cette fatigue moral à enduré seule et son coté aviaire qui lui cri de ne pas abandonner. Le combat est très épuisant mais malgré cela sa narcolepsie ne s'active pas pour la faire tombé dans le lac, sa mort serait sans douleur au moins. 

Levant les yeux au ciel elle chanta de sa voix mélodieuse d'oiseau, un chant de désespoir l'eau coulant sur son visage, retraçant des lignes déjà crée par des larmes millénaires. 

Elle s'effondra sur ses genoux ne supportant pas son incapacité à ne pas sauter.

Ses flammes l'entourèrent pour l'enfermer dans une douce chaleur voulant la réconforter et lui donner une certaine chaleur.

***

Dans un autre univers un certain Dieu de la Mort s'ennuyait ferme( je dirais même il "Sans"nuiais) donc il délaissa son travail à son frère et alla dans univers alternatif au hasard.

 Il se baladais tranquillement entre les arbres écoutant un chant mélodieux d'il ne sait où.

 Donc curieux de connaitre l'oiseau qui chantait de sa belle voix, il se dirigea vers celui-ci.Plus il avançait plus le chant était fort et déchirant. 

Arrivé devant un grand Saule pleureur, il le contourna doucement en fesant le moins de bruit possible surprit par la beauté du lieu il faillit tomber par terre. 

Le lac brillant sous de chaleureux rayon d'un soleil de printemps, une légère brise ondulant l'herbe bien fraiche, les branches des arbres, une longue chevelure et la danse de flammes couleurs de l'océan et de l'or fondu entremêlé. Emportant la douce mélodie des roseaux et des rameaux du Saule, ainsi que l'odeur envoutante des roses, du lilas et d'autre fleurs inconnu pour notre squelette. Au milieu de se tableau une personne à genoux au bord du lac pleurant, criant dans son chant son désespoir.

Son âme de Dieu fut tellement touché qu'une seule larme incontrôlable coula sur son propre visage.

 Il s'approcha doucement de cette être qui l'intriguait autant qu'elle le fascinait. Puis la jeune fille se retourna d'un coup s'arrêtant de chanté.

Pour une raison qu'il ignorait, il était triste qu'elle s'arrête.

 Il plongea son regard dans le sien et resta figé devant cette scène: une peau presque aussi blanche que ses os, des cheveux léger au couleur du bronze du au soleil, des yeux chocolat avec un fond de bleu ciel submergé de tristesse, un petit nez d'humaine tout à fait charmant, des larmes de cristal coulant sur des petites joues au rythme de la peur luisant dans son regard, des lèvres rouge et pulpeuse qui lui donnait à mourir d'envie, un cou assez long sans qu'il ne ressemble à une girafe, tout son corps était caché par des vêtements très léger vu avec quel facilité la brise les fesaient s'envoler, des épaules tendu, des bras fin, une poitrine bien proportionnel avec le reste de son corps caché derrière une chemise violette-mauve retenue que par un unique bouton et une ceinture bleu ciel, des mains fines. Ensuite de très belles hanches, des jambes longues, fines et puissantes sous un jean 3/4 bleu nuit et pour finir elle portait de magnifique sandales ouvertes à lanières brunes.

Tout en elle respirait la finesse et le pouvoir, le désespoir et l'amour, la cendre et l'envie d'un feu incandescent, la vie et la mort... la protection. Reaper n'avait qu'une chose en tête en cet instant......

Elle

===>