Némésis et les creepypasta

La rencontre

Némésis était entrain de voler au dessus de la forêt, elle l'aime bien car il y a plein de petits animaux qu'elle peut attraper pour ce nourrir.
Némésis, c'est mon aigle, enfin c'est plutôt elle qui a décidé de rester avec moi.
Et moi je m'appelle Mary, je suis une fille de 18 ans, je n'ai pas un chien ou un chat comme tout le monde mais un aigle que j'aime plus que tout au monde. Comment j'ai fait pour avoir un aigle ? Et bien un jour je me promenais dans les montagnes et j'ai vu un bébé oiseau tomber de son nid, il était affamé, j'ai décidé de l'emmener chez moi ou je me suis occupé de lui. Maintenant elle a 4 ans et vie avec moi.
J'avais parlé d'une forêt c'était dans cette même forêt où j'étais entrain de mes perdre dans les sentiers enneigés, on était en hiver et il fessait -5 mais j'étais habillé avec une robe noire qui m'arrivait au genoux. Je ne crains pas le froid.
Je continue d'avancer en regardant en l'air pour voir où était Némésis mais je n'avais pas à chercher en l'air puisqu'elle était perchée sur un arbre mort, elle me fessait dos et ne semblait pas intéressé par ma présence, elle était concentré sur autre chose, pas un animal. C'est 4 années de vie commune avec un aigle avait amélioré ma vue. Je remarqua au loin deux, non trois silhouette caché entre les arbres et la neige. Ils avaient remarqué notre présence et avançaient vers nous. Je tendis mon bras et Némésis s'accrocha dessus. Plus ils approchaient, plus nos cœur battaient vite. Puis Némésis lâcha un cri, je vis le trois hommes s'arrêter, il était encore loin mais en les fixent, j'ai remarqué qu'ils étaient armé, le premier avait deux hache, le deuxième avait une barre en métal et le troisième un couteau. Trois contre deux, cela ne me semble pas équitable, même si pour l'instant ils ne nous avait pas encore attaqués, cette fois c'était moi qui avançait vers eux, Némésis était toujours sur mon bras et je pouvais sentir qu'elle avait envie de décoller mais elle ce retenait. Ils ne me fessaient pas peur, j'étais moi aussi armé, pas avec une arme, pas avec un animal mais avec des pouvoirs surnaturels. Je suis capable de faire bougé des objets par ma seule force mental mais ça tous le monde l'ignorent. Quand j'arrête de marcher, aussitôt les trois hommes se mettent en position près à attaquer, environ 10 mètres nous séparaient. L'homme qui avait les haches avait un pull rayé sur les manches, des grosses lunettes orange et un masque rayé qui lui couvrait la bouche, celui qui avait la barre en métal avait un sweat jaune son visage était masqué par une cagoule noir ou était dessinée un smiley triste et le dernier portait une veste orange et un masque blanc avec des trais plutôt féminin.
"Si tu fais un pas de plus, tu n'ai plus de se monde !" Lâcha l'homme au masque blanc.
"Et tu n'a pas intérêt à lancer ton sale pif sur nous si tu tiens à sa vie !" Continua l'homme au lunette orange
"Bizarrement j'ai envie de faire l'inverse totale de se que vous dit." Réponds ai-je calmement
Sans attendre une réponse de leur par, Némésis s'envola à toute vitesse puis plongea en piquet vers l'homme au masque blanc, ce dernier essaya de planter son couteau dans la chaire de l'aigle mais sans succès puis il tomba à terre et Némésis revint sur mon bras.
"Connard de piaf" Grogna l'homme en se relevant.
Némésis répondit par un cri persan.
"On fait quoi maintenant ?" Demanda l'homme à la cagoule.
"On va leur faire leurs fêtes" répondit le masqué
Et il fonça sur moi, son couteau à la main, sans bougé je l'arrêta dans sa cours grâce à ma force mental et je l'envoya dans contre un arbre. Les autres me regardèrent surpris et effrayé.
"Quoi ? Vous savez pas que quand on m'attaque je me défends ?" Leurs répond y-je
Némésis s'attaqua à l'homme au smiley pendant que je soulevais l'autre avec mes pouvoirs et je l'envoya contre son pote qui était entrain de se faire victimiser par l'aigle. Les trois était assommé.
"Bon on rentre ?" Demande ai-je à Némésis. À peine je me suis retourné que ma vue devient flou et ma tête était lourde et qu'elle que seconde plus tard j'étais par terre. Totalement inconsistante
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J'espère que ça vous à plus, j'aimerais savoir si vous avez aimé