Je tiens tout d'abord , mon amie, à vous remercier pour le somptueux bal que vous fîtes donner en votre cours ce samedi. L'ambiance y était fraiche, enjouée et pleine d'un érotisme pesant et odorant.
Bien que je visse, en premier lieu, la croupe de votre cousine La Baronne, je ne pus m'empêcher d'observer votre silhouette cristalline et juvénile.
Belle enfant, m'autoriserez-vous, un jour prochain, à ravir votre virginité ?
Je pourrais, selon vos désirs, vous baiser sauvagement : vos chaires claquantes sur ma verge couvriraient, alors, le bruit de vos pleurs et de vos jouissances. Toutefois, si vous souhaitez rester vierge, je pourrais lécher votre rose et frotter ma barbe sur votre doux bouton.
Attendant fiévreusement votre réponse.
Monsieur S*****, chevalier des Marches
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