chapitre26

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Je me dirige vers le domicile de mon Jordan avec mel. Enfin je vois son domicile de loin a ce moment mon cour bat trop vite j'ai peur d'écouter la suite de cet histoire j'ai toujours peur de savoir qu'un jour il y aura possibilité de perdre celui qui me redonne le sourire, celui qui ma fait connaitre l'amour et le plaisir d'aimer.

Mel: c'est ici?

C'est cette phrase qui ma fait comprendre que je devais redescendre sur terre et qu'il est temps que je place mon doigt sur bouton qui me sert a faire retentir la sonnerie de chez lui.

A la première sonnerie mon téléphone vibre je dirige mes deux yeux humidifié vers le cellulaire et c'est mon Jordan

Jordan: pas la peine de venir chez moi je ne veux plus te voir

A la fin de ma lecture mes yeux déjà humide ne c'est pas gêné a faire couler ce liquide incolore et salé et mon gros corp en surpoids s'écroule devant la porte de celui qui venait de me brisé pas uniquement le coeur mais aussi tout ce qui pouvait faire mon bonheur.

Mel: TA QUOI MA PUCE? LÈVE TOI S'IL TE PLAIT POURQUOI PLEURE TU?
Moi: LE.... LE....LE.....MESSAGE
Mel: donne le moi

Elle prit le cellulaire et je pouvais remarquer ces yeux rouge
D'un geste irréfléchi elle sonna sans laisser une seconde a la sonnerie de se reposer

...JORDAN... voilà le seul mot qui est sorti de ma bouche quand je lui est vu

Mel: ho ho ho Mr jordan pas la peine de refermer cette porte
Lui: j'ai pas envie de voir vos deux têtes chez moi
Mel: tu la referme a nouveau cette porte je te promet que le scandale que je vais faire ici chez toi te fera fuir le cartier

J'essaie de lire dans les yeux de jordan mais je ne trouve rien je le regarde a nouveau et nos yeux se croise il me regarde avec dégoût et mépris je comprends a l'instant que il Ya un vrai problème derrière tous ça

J'ai pas la force de lui parler comme a chaque fois que se regard apparaît sur lui

Mel: tu ne trouve pas que nous...je veux dire ....que Alex mérite des explications ?
Lui: a oui des explications ? OK par quoi devrais je commencer?

Il me parle avec un sourire nerveux. Il passe chaque seconde ça langue sur ces lèvres que j'ai tellement eu du plaisir a embrasser. Il passe ensuite ces douces mains dans ces cheveux et continue son monologue en agissant ces bras sexy dans tous les sens on moment tout ce qui sort de ça bouche

Lui: je t'es aimé comme un fou, je t'es pardonné quand t il fallait le faire, j'ai étais le premier homme dans ta vie et j'en étais fière chaque seconde passé avec toi rendait mes journées meilleures.... mais toi qu'est ce que tu ma ma fais?
J'ai passé l'âge d'être au second plan. Tu trouve pas? La première foie que tu "trahis" j'étais pardonné parce que tu me la demandé et que j'ai voulue te faire confiance mais tu ne m'aura pas non ma belle non pas une seconde fois
Et tu pense que j'ai encore envie de parler avec toi? ......Hum ..... Non je pense pas

Moi: tu a parlé tu a parlé mais tu ma pas dis ce que j'ai fais...
Lui: te dire quoi? Que tu couche avec n'importe qui dans les soirée?

Moi: QUOI...... ta des preuve de ce que tu me dit la
Mel: mais tu es malade ou quoi?
Jordan: mel tu veux blanchir ta pote ok pas de problème mais j'espère que tu auras la même attitude avec elle quand tu vas la voir coucher avec ton mec
Grosse vache voilà ce que tu mérite

En sortant cette dernière phrase il me lance un papier ou c'est t'écris *grosse vache un jour grosse vache toujours*

Il na pas eux le temps de placer un mot de plus que mel lui donna une gifle bien forte qui lui laissa des traces de mains sur sa joue gauche.

Suivis d'une seconde gifle avec toute la douleur, la tristesse,... Une gifle plus forte que la première retenti sur ça joue droite mais cette fois si c'était moi l'auteur et j'en étais fière

Il ma regardé tranquillement droit dans les yeux et a versé une larme je ne sais pas si c'est pour les gifles ou la tristesse qui se lit sur ces yeux

J'ai déjà vu Jordan dans tout ces états, triste ou heureux jamais je ne lui es vu verser une larme et tout d'un coup je me sens coupable d'un truc dont j'ignore l'existence.

Je me déteste oui je déteste tout on moi. Il se retourne et ferme la porte de leur immense maison.

A ce moment comme une excellente amie mel me sert très fort dans ces bras comment si ma vie en dépendait.

J'ai ressenti une douleur qui dépasse toute douleur que j'ai pus ressentir jusqu'à aujourd'hui et suivie d'une haine profonde en vers moi même jusqu'au point ou je pense que ma mort sera un soulagement pour tout monde.

Dans La Peau D'une Grosse Où les histoires vivent. Découvrez maintenant