Ils ont changé ma vie

Chapitre 4

Le lendemain, je me réveillai à 7h30 puis, je réveillais mes amies pour aller petit déjeuner. Après, nous partîmes dans nos chambres afin de nous habiller. Puis, nous descendîmes dans la salle du billard pour partir en balade. Rien de notable si ce n'est que Ruben et Garry  ont fait tourner Mme Grabowski en bourrique (comme d'habitude). Puis, nous rentrâmes a la maison de Courcelles pour se réchauffer et manger. Les moniteurs nous annoncèrent que nous allions faire des activités intérieur pendant que la sixième 4 elle, allait se promener. Nous fîmes une représentation d'une frise chronologique (plus chiant, tu meurs). Puis, vînt l'heure des douches...froides....Et du téléphone. Après ça, nous descendîmes manger. Ce soir, c'était la soirée contes. Nous arrivâmes dans la salle et nous vîmes que tout le monde était déjà là, je vîs que Jules m'avait gardé une place à coté de lui, ce que je constatât avec plaisir, je pris place à coté de lui tandis que les filles nous laissaient tranquille. La lumière s'éteignit et le premier conte commença, à un moment,Jules sentît que j'avais peur et il glissa sa main dans la mienne ce qui me réchauffa et me fît momentanément oublier ma peur...Après la soirée, j'embrassai Jules sur la joue puis, je commençai à marcher vers mon dortoir quand je sentie une main se refermer sur mon bras et des lèvre se poser sur ma joue, je me retourna et vît Jules qui me faisait un signe de la main. Quand j'arrivai dans la chambre je vît Maïloann et Fériel dans la chambre mais Adina n'était pas là, soudain, la porte s'ouvra en coups de vents et Adina entra dans la chambre avec les larmes aux yeux puis, s'effondra sur son lit et éclata en sanglot, nous nous approchèrent du lit de Adina lui demandant ce qui se passait; elle nous dit de la laisser tranquille ce que nous fîmes. Quand elle eu enfin épuisée ses pleures, elle demanda a me parler ce que j'acceptai. Nous sortîmes de la chambre et elle me dit la raison de ses pleures; elle pleurait par jalousie de moi car Jules m'avait garder une place à coté de lui et on c'était tenus la main, on s'était fait des bisous et elle, avec Johan, rien nada il ne lui avait ni garder de place, ni prit la main, ni de bisous sur la joue; On se fît un calîn et on entra dans la chambre pour subir l'interrogatoire des filles. Je leur disais la vérité (avec l'accord de Adina bien sûr) puis, fatiguées nous allâmes nous coucher.