MithWorld Chapitre 1 ; Le temple perdu.

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Mes yeux s'ouvrirent sur le plafond grisâtre et délabré que j'avais en fasse de moi. De ma position, couché, je ne pouvais pas voir le reste de la pièce. C'est comme si je venais de me réveillé après 5 ans de repos. Je décidais alors de me lever de ce lit de pierre qui avait plus l'air d'être une pénitence qu'autre chose.

Je me levais brutalement de cet affreux lit. Devant moi, une pièce dans laquelle se trouvais un coffre. Ma vision étant brouillées je ne voyais pas grand-chose d'autre. Je me déplaçais donc jusqu'au coffre. Et quelque chose me vint en tête avant d'ouvrir ce coffre : Que fais-je ici ? Pourquoi ne suis je pas chez les ange ? Cela reste mon peuple... J'ouvris  le coffre, non sans mal à cause de cette vue trouble.

Dedans je retrouvais une arme assez spéciale. Une arme dont je ne me souvenais plus du maniement. Un arc et 30 flèches. Étranges. Au fond du coffre se trouvais un parchemin. Je décidais de l'ouvrir. Je fus surpris par ce qui était écrit dessus : « Rejoins moi à Eldrya, signé Erhys, reine des humains. » Pourquoi est ce qu'un ange comme moi, simple, avec un quotidien aussi banal que le miens devait être convoquer chez la reine des humains ? Étais ce un piège ? Mais.. ça n'aurais pas de sens...

Ma vue retrouva sa netteté et je pu distinguer une fontaine à eau et des fioles... C'est vrai que j'avais soif moi... J'eusremplis 5 fioles d'eau et suis sortis. Mais soudain, une douleur aiguë provoqua chez moi un hurlement.

Moi : « AAAAAAAAAAAAAAAAAAAAH !!! »

Je m'étais cogné le pied contre l'interstice entre cette vieille porte et le mur. HE HO ! J'avais la vue trouble ok ?! Hum... Bref. Une fois remis de ma douleur, j'ouvris la porte, qui donnais sur un immense couloir en pierre, où des statues immenses étaient érigées à l'effigie de grands héros.

Il y avait toute les races de ce monde représentées par ces immense statues. Plus je traversais le couloir et plus je vit de héros, tout en me rapprochant doucement de la porte qui me fit fasse. Parmi eux, un orc, un humain, un démon, un eable, et un... ange. Je prit le temps de regarder sa tête, son armure, ses armes. C'était un archer, qui maniait une bien belle arme. Bref, je ne devais point m'attarder ici.

Je m'avançais et fini nez à nez contre la porte, qui était bien plus grande et imposante que l'autre porte ou se situais mon odieuse « chambre ». J'essayais de poussé cette porte. Impossible, elle était bloquée et par la même occasion moi aussi. Je me retournai et marchait dans la direction opposée à l'imposante porte. Je constatais que le lumière qui habitait ces lieux venais de vitraux. Trop petits pour que je passe à travers, dommage.

Je vit alors un truc que je n'avais pas remarqué. Tout les torses des armures des statues étaient ornés de pierres précieuses et que le sol était un miroir. J'eus une idée.

Les vitraux éclairaient la pièce de manière linéaire, mais en quantité exacte à gauche comme à droite. Bien sûr ! Je prit une flèche et l'enfonça dans le sol ce qui cassa une partie du miroir. J'utilisais le bout que j'avais décrocher pour illuminer deux pierre précieuses. Marche pas. Peut être que toutes devaient être éclairées par la lumière ? J'enlevai le fer se trouvant au bout de ma flèche et tailla le verre pour pouvoir l'utiliser comme une pointe de flèche. Je rangeais le fer dans une de mes poche de ma tunique. Le bout de miroir servait maintenant de pointe pour ma flèche.

Je me mis au bout de la salle, prêt de la petite porte et tirais cette flèche. Elle réfléchissait toutes les pierres précieuses dans un laps de temps très court. Et pourtant, elles se mirent, après que la flèche s'écrasa contre la porte à emmètre un son et en simultané, un clignotement. La grande porte s'ouvrit alors dans un fracas qui ressona dans la grade pièce. J'étais libre.

Je me précipitais avec mon arc, mon carquois et mes fioles dehors. Le vent contre ma peau... Les feuilles qui tombaient doucement des arbres qui n'étaient pas si nombreux, les rochers,... pas de doute, je fus dans une plaine. Je décidais de m'avancer pour respirer l'air frais. Je me retournais, comme pour dire au revoir à la prison qui m'avait hébergée, et vit que c'était une énorme structure, osons le dire, un temple.

??? :« Ayaaaaaak ! »

J'entendais un cris étrange venant de derrière moi. Je me retourne directement.

Moi :« Un gobelin ! »

Je dégainais mon arc et me saisi d'un flèche, le visa et tira. Je l'eus dans le bras. Il s'énerva et courra vers moi avec une rage folle. Il me mit un coup dans le ventre que j'encaissais à peine. Je me saisis rapidement d'une flèche et l'enfonça dans le crâne du gobelin. Il tomba au sol, Mort.

Direction Eldrya.

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