MithWorld

MithWorld Chapitre 5; Rivaux.

Edgard et moi rentrions au château. Erhys allait probablement être super fière. Mais Edgard me stoppa au moment ou j'allais annoncé ma victoire à la reine.

Edgard:"Hé ho ! Tu dois d'abord écrire ton rapport !"

Gabriel:"Bon ok d'accord !" 

Je tournais les talons pour faire mon rapport quand soudain... J'avais oublié ou était la pièce ou on écrivait les rapports. 

Gabriel:"Euh... c'est ou qu'on écrit les rapports?"

Edgard:"Au fond du couloir."

Gabriel:"Merci !"

J'étais à présent en train de marcher dans ce long couloir ou chacun de mes pas résonnaient comme un cœur qui bat. J'ouvre la porte du bout du couloir et je tombais sur une immense bibliothèque. Les étalages en bois de sapins et de bouleaux respiraient la connaissance, la vieillesse et la connaissance. Il y avait au milieu de la pièce une table, simple, avec une espèce de planche pendue par une corde au meuble avec écrit:"Rédaction des rapports". Bordel...

Je prit un siège et je m'asseyais dessus. Ca me piquais les testicules, comme si je me prenais un objet en bois directement dedans, comme un crayons... 

Gabriel:"C'est immonde !"

Je prit la chaise et je la jeta loin de moi. Je m'asseyais sur celles ci et elle fut plus confortable. Je prit une feuille et sortais une plume du pot à encre. J'écrivais des trucs... Je retranscrivais dans les grandes lignes la bataille qui s'était passé en y incorporant des fatalités telles que "FATLITY...", "Wombo Combo", "Octogone", "Bubi et Kooras"... J'étais presque mort de rire en écrivant parfois des phrases sans l'ombre d'un sens. Pas grave c'est marrant ! Bref, au bout de deux heures, j'eu finis d'écrire mon rapport. Je le posais sur ma table à un endroit visible de la pièce. Je me levais enfin de ma chaise. J'alla alors dans la bibliothèque pour lire un peu. Je me positionnais alors face aux étagères de livres. Il y avait de tous; Alchimie pour débutants, les grigis de la magie, comment battre un orc... Quand je tombais involontairement sur un livre tout en bas de la 3ième étagère en trébuchant sur un plis du tapis. Je pus me relevé, mais pendant ma chute, je vis une tranche d'un livre qui m'avait particulièrement intéressé. Je m'abaissais pour le saisir et...

???:"Qu'est ce que tu fais l'nouveau ?"

Je me retournais et je me relevais l'air de rien comme un imbécile. Mais le visage humain qui était devant moi me disais quelque chose. C'était Simon. 

Gabriel:"Rien. Pourquoi et que fais tu là ? Normalement il n'y a que les gradés qui ont accès à cette partie du château." 

Simon:"Je suis passé caporal chef." 

Gabriel:"Que me veux tu ?"

Simon:" Tu l'sais très bien microbe."

Il m'attrapa par mon foulard blanc et me plaqua contre le mur;"Que je ne te vois pas dans mes pattes... Si tu savais ce que j'ai envie de te faire après ce que tu M'AS fais !"

Je le vit en train d'essayer de me mettre un coup de poing. J'eu alors un flash d'une femme avec des ailes blanches à plume portant une tunique blanche et un foulard identique au miens. Je ne pu me retenir:

Gabriel:"LA FERMEEE!"

Une immense bourrasque de vent jaillis de mes mains et je mis un énorme coup de poing dans le crâne de Simon ce qui l'envoya à 2 mètres. Il se rattrape avec une dague qu'il avait à sa ceinture et en l'enfonçant dans le parquet. "Microbe !" Il voulu me mutilé avec sa dague. Il fonça vers moi et je lui assénais un coup dans le ventre avec la paume de ma main ce qui créa une forte bourrasque qui l'envoya s'écraser contre la table. Edgard rentra alors dans la pièce, suite au vacarme qui s'est produit. 

Il vit Simon à terre, tenant toujours sa dague et moi qui était toujours debout et redevenu calme. Les soupçons se dirigèrent naturellement sur Simon.

Edgard:"SIMOOOOON !! TU ES COOOOOOON !"

Gabriel:"*en chuchotant* et en plus ça rime !"

Edgard:"QUITTE SE CHÂTEAU IMMEDIATEMEEEEENT !"

Simon se relevais, un œil au beurre noir et quitta la pièce. Je cachas le livre dans mon dos. J'alla alors chez Erhys avec mon rapport. Elle était heureuse de me voir et me tendais un arc flambant neuf qu'elle avait fabriqué à partir d'une branche qu'elle avait enchantée avec sa propre manaa. J'étais assez émus; c'était un arc magnifique. Elle me regardais de manière bienveillante et m'accompagna dans ma chambre. Elle me quitta sur le seuil de ma porte en déposant un baiser sur mes cheveux. J'ai l'impression d'être comme un fils pour elle. Je rentrai dans ma chambre et déposa l'arc sur mon lit. Je me saisis du livre que j'ai suptilisé et le posa ouvert à la première page sur mon bureau.