L'aquilon souffle dans les rues sanglées comme les cœurs

Rafales azurines à l'ombrée d'un jour et célestes chœurs

Ondes emplies de ciel aux confins de nos âmes d'ébène

Et les nuages dans nos poitrines se parent du bleu de l'éden

Mes flocons de penséesOù les histoires vivent. Découvrez maintenant