partie 1. 1 PDV ILONNA

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En ce moment avec ma mère ça ne va pas. Dès qu'on se parle sa part en conflit. C'est comme ça depuis que je suis rentré en crise d'adolescence. Ma mère travaille beaucoup de 5 h du matin à 22h du soir. Bref je ne la vois jamais.
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Sur le trajet du retour je me suis fait une sorte de réflexion. Pourquoi est elle aussi déprimée et pourquoi est elle aussi triste et pourquoi elle me rejette autant . Je rentrai referma la porte derrière moi enleva mes chaussures et mon manteau.
J'allais dans la cuisine ouvrit le placard où se trouvaient les biscuits et prit le paquet de cookies déjà entamé. Je montai dans ma chambre alluma mon ordi et me glissa dans mon lit pour regarder une série sur Netflix. Voilà à quoi se résume ma vie de tous les jours c'est tout le temps la même routine La porte s'ouvrit puis se referma. Il était 22h30 passés. Ilona se leva et entrouvrit la porte de sa chambre pour voir ce qu'il se passait en bas. Sa mère était de dos, dans la cuisine. Elle referma la porte et se recoucha. Quelques minutes plus tard elle entendit les pas de sa mère passent devant la porte de sa chambre. Après qu'il n'y ait plus aucun bruit Ilonna put s'endormir paisiblement.

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Cela fait quelques jours que c'est très froid avec ma mère. Elle paraît pensive je sens qu'elle prépare un truc. Sa voie me sort de mes pensées: -Ilona! Viens me voir! -Ok j'arrive! Jetait inquiète parce que ce n'était pas du tout dans ses habitudes de m'appeler d'en bas comme ça. J'arrivai dans le salon. Elle était assise sur le canapé je me suis donc assise dans le fauteuil en face d'elle. C'est ma mère qui brisa le silence: -Alors je pense que tu as bien vu qu'on ne se parlait pas alors j'ai décidé de te mettre en internat sa te fera le plus grand bien. -dans un internat?! -oui. Répondit elle sèchement Je ne répondis même pas je me levai d'un bon, enfilai mes chaussures à fourrure, puis mon manteau de la même matière. Je claquai la porte derrière moi.
J'étais énormément vexé même si ça ne me faisait pas grand-chose de quitter ma maman mais c'était le geste de me mettre en internat. Je trouve ça horrible qu'une mère puisse faire sa à son enfant même si on n'était pas en bons thermes. J'allais perdre tous les repères, mes amies... Maintenant j'errait dans les rues je marchais je ne savais pas où j'allais mais tout ce que je savais c'est que je ne rentrerai pas tout de suite.

L'énigme Où les histoires vivent. Découvrez maintenant