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Comme tous les mercredi je me rends après les cours chez mon meilleur ami Thibault. C'était un rituel que nous avons instauré depuis environ le début de l'année.

Je suivait mon ami d'un pas enjoué. Il poussa la lourde porte de son immeuble, et la retenait d'une main ferme me laissant le passage. Alalala... C'était ce genre de petits gestes anodins et pourtant si mignon qui faisaient chavirer mon cœur. Il était si galant et attentionné avec moi, quand on ne connaît que la haine et la violence puis qu'on rencontre ce bel ange, c'est comme si tout votre passé ignoble se dissipait pour laisser place à la romance.

Nous entrâmes tous deux dans l'ascenseur. Ah, l'ascenseur ! Ma partie préférée... Cette petite cage était conçue pour une personne, bien entendu nous étions trop fatigués pour prendre les escaliers ainsi que trop impatient pour le prendre chacun son tour. À chaque fois nos corps étaient donc compressés l'un contre l'autre mêlant mes désirs inavouables à l'innocence de mon doux prince. Mais cette fois ci le désir prenait une toute autre tournure... Je ne sait si ce fut le fruit du hasard ou non, mais je senti sa main se poser délicatement sur ma cuisse. Ma respiration devenait plus intense, une douce chaleur s'emparait au fur et à mesure de mon corps. Sa douce main de pianiste jouait de mon corps avec tendresse, parcourant ma cuisse, la couvrant de tendres caresses. Sa main remontait de plus en plus, et fini par me caresser l'entre jambe. Je me mordi la lèvre inférieure pour retenir mes quelques gémissements, mon corps commençait à se tordre de plaisir et ma pierre précieuse avait déjà enflée... Sa main se retira doucement. Les portes de l'ascenseur s'ouvrirent laissant place au 4e étage. Il sorti sans un mot, sans avoir de réactions particulière. Je le suivi donc, tête baissée, le pas hesitant.
Il m'ouvrit la porte de sa demeure. Encore un de ses gestes si doux... J'esquissa un léger sourire et me rendi dans sa cuisine où je me laissa violement tomber sur la première chaise venue. Thibault quant à lui arriva juste après moi et sorti une bouteille de citronade du frigo ainsi que deux verres. Il les posa sur la table puis s'assit ensuite sur la chaise la plus proche de la mienne. Il me demanda si on prenait les verres ou pas, parce qu'il avait la flemme de les lavers par la suite. Je lui répondit d'un léger sourire que c'était comme il voulait. Mon ange rangea alors les verres et commenca a boire à même la bouteille. Quant à moi je le regardait attentivement me laissant me perdre dans mes pensées. Une mince partie de l'innocence qui me restait était restée coincée dans un ascenseur. Cette douce chaleur était si agréable que j'aurai aimé qu'elle embrasse chaque parcelle de mon corps avec encore plus de passion et de désir. Malheureusement je doute que Thibault ai fait ça de son grès... Je ne l'interesse certainement pas, et puis, il aurait fait des remarques à la sortie de l'ascenseur si c'était volontaire... L'incompréhension était certainement apparente sur mon visage puisque mon bel ami me demanda si tout allait bien. Je lui répondu d'un léger hochement de tête incertain, puis je pris de ma main droite la bouteille de citronade. J'approcha le goulot de ma bouche, mais encore remplit d'électrochocs émotionnels ma main trembla. Mon corps se retrouva alors frigorifié, inondé par la fraîcheur de cette citronade. Je ne su que faire. J'étais Béa fasse à la stupidité de cette situation. Mon gentilhomme me prit la bouteille des mains et la posa sur la table. Et me dit d'une voix raque " Tu sais, c'est difficile de te résister... Mais je tadore, et j'adore la citronnade... Alors..." je n'eu pas le temps de répondre où de faire quoi que ce soit qu'il s'était assis à califourchon sur moi, son visage si proche du mien. Mes joues s'empourprairent. Sa tête se nicha dans le creux de mon cou qu'il recouvra avec sa lange. Il dévora celui ci comme si il s'agissait d'une glace. Je me mordait intensément les lèvres pour ne pas gémir. Mon amant continuait ses folies gustatives, il retira violement mon t-shirt et me dévora tout le torse. Mes lèvres ne resistaient malheureusement plus à la pression qu'exercaient mes dents. Un léger flot de sang se deversa dans ma bouche, me forcant inconsciemment à arrêter de me torturer. Mes dents dénouaierent alors leurs pressions et laissairent mes lévres fasse à la beauté du monde extérieur. Je commençait alors, un concert de gémissements incessants. Mon petit dimant durcissait sous les lechouilles de mon bel ange. Thibault étant assis sur mon diamant devait certainement sentir l'ébullition de celui-ci. Visiblement je ne me suis pas trompé, il l'avait bien senti. Il me regarda d'un sourire pervers et s'amusa à pincer mes morceaux de chair rosées tout en frottant son bassin contre le mien faisant grossir mon dimant. Nos gémissements s'intesifiaient au fur et à mesure de nos gestes langoureux.

Le magnifique visage de mon amant s' approcha du mien. Il me mordi le haut de mon oreille avec passion et me susura à l'oreille:" Suis moi, et détend toi mon cœur. Tu vas avoir une sacré punition, pour m'avoir fait attendre si longtemps". J'étais rouge, j'ouvrit la bouche pour lui répondre mais aucun son n'en sorti. Il se degagea alors de mon corps, me deposa une légère caresse au niveau de mon rubis du bout de ses doigts de fée. Il se dirigeat vers sa chambre. Je ne pris pas le temps de remettre mon t-shirt que mon corps, qui était à sa merci le suivait déjà. Quelle était cette punition dont il avait précédemment parlé ? J'en ai aucune idée. Mais tout mon corps est déjà frémissant à l'idée d'être sa chose.

Citronnade acidulée Où les histoires vivent. Découvrez maintenant