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Je penetra d'un pas timide dans la chambre de Thibault. J'eu à peine posé le pied à terre qu'il ferma la porte à clef et d'un geste me pousse sur son lit et se jette sur moi, me Déshabille très rapidement, en un rien de temps je me suis retrouvé allongé, mon émeraude pointant le ciel à la merci de mon pianiste. Il embrassa ma pierre précieuse avant le la caresser avec sa langue que j'aime tant.
Je m'accrochait aux draps et je gemissait à chaque passage de sa langue.
Il embrassa une nouvelle fois mon gland qui cette fois ci était humide, béant il ne demandait que l'attention de son maître. Thibault l'engloba ensuite dans sa magnifique bouche. Ses douces lèvres allaient et venaient sur toute ma longueur. Quelques gouttes de sueurs devalaient mon corps nu tel des skieurs sur une piste. Les skieurs allaient de plus en plus vites étant en parfaite synchronisation avec mon ange. Sa langue s'ajouta à ces jeux olympiques d'hivert dansant harmonieusement avec mon Saphir, qui était devenu bien dur. Il continua sa prestation de façon plus intense. Je sentais que ça allait venir. J'essaya d'articuler son prénom entre mes gémissement, mais ce fut sans réussite. Et pourtant, il se retira de mon Topaze presque instactivement. Je souris face à cette fusion. Innocent que j'étais ! Thibault sorti un petit tube en métal de sa poche. Vêtu de son sourire le plus sadique il approchait doucement ce tube de ma verge. "Ti-Thibault ? Tu fais qu-quoi ?" balbutiai-je. " Aime, obéis et ne pose pas de question gentil toutou" Me répond-il fermement avant d'enfoncer violement ce tube dans mon urètre. Je ne pu m'enpêcher de lâcher un cri strident tellement la douleur était importante. Je sentais ce tube m'apporter une once de fraîcheur, c'était à la foi douloureux, mais agréable. J'avais envie qu'il continu... Que je sois sa chose... Comme il a si bien dit précédemment. Je veux être son chien ! “J'en veux encore...” Lui dis-je entre mes quelques gémissements. Thibault ne répondit point, il se contenta de se pencher sur moi et de me déposer un baiser plus que torride. Sa langue n'eu aucun mal a trouver sa jumelle, comme si nous avions fait ça toute notre vie. Thibault se releva, se déshabilla, lentement, très lentement... Me laissant admirer chaque courbe de son délicieux corps que je voulais tant dévorer. Le désir grimpait peu à peu en moi. Et pas que... Mais ce petit bout de métal empêchait ma pierre précieuse de pleurer...
Thibault sorti un grand sac noir de son armoire et m'expliqua d'une voix rauque que ce sac contenait de nombreux jouets qu'il a toujours rêvé d'essayé sur moi. Je nu aucune réponse qui me venait à l'esprit. Je lui ai donc bêtement répondu "Ouaf !" Thibault c'est mis à rire gentillement "Bon chien... Allonge toi..." me répond il.
Je m'exécute alors et m'allonge à plat ventre sur le lit. Thibault se mit à califourchon sur moi frottant doucement son penis contre mes fesses. Je gemit légèrement. D'un même geste, mon bel ange m'attacha les poignets aux barreaux de son lit à l'aide d'une paire de menottes rose. Étant à plat ventre je ne pouvais voir que les barreaux du lit et le mur qui se trouvait derrière, et je dois vous avouer que l'idée de ne pas voir ce qu'il va me faire subir m'éxite encore plus. "Aller Flavinou, on ouvre la bouche maintenant. Aaaaah" Me dit mon amant d'un ton amusé. Je m'exécute alors. Il glissa dans ma bouche une grosse balle noire qui était reliée à deux morceaux de cuir épiais. Il noua les lanières en cuir derrière ma nuque. Je ne pouvais plus parler. Je pouvais simplement émettre des gémissements. Bayonné, attaché... C'est si exitant ! Cependant... Ma perle grossi de plus en plus,ce qui accroît ma douleur, et par conséquent mon plaisir. La petite fessée déposé sur mes fesses nues me rappela à l'ordre. Instinctivement je me mis sur les genoux et releva mes fesses pour offrire à mon prince la meilleure vue possible. Il ne se fit pas prié et posa ses mains sur mes fesses et déposa ensuite un baiser sur mon... Mon -comment dire ça de façon polie ?-  mon donut.
Je gemissait comme un fou, je mordait la balle de toute mes forces, rien n'y faisait, je prenais mon pied. De la bave coulait le long de mes joues... Je me sentait sale, sale mais en extase.
Mon amant continuait de dévorer mon donut et décida de lecher langoureusement les couturs de celui-ci. D'abord tout doucement, puis avec plus d'intensité.
Je gemissait de plus que je pouvais manquant à plusieurs reprises de m'étouffer à cause de cette satané balle noire ! Des flaques de baves se formaient peu à peu sur les beaux draps blancs, draps si purs maintenant salis.

Je ne su si ce fut par simple maladresse ou si cet acte était consiant, mais la langue de mon amant "glissa" et pénétra mon donut. En y explorant pendant quelques instants les moindres recoins avant d'en ressortir tout en y titillant les paroies, puis la porte d'entrée.
J'étais en sueur... Cette sensation si douce, sa langue si habile... Comment un homme pouvait-il être aussi doué ? Les flaques de baves devenaient peu à peu des rivières et la douleur présente dans mon bas ventre ne faisait que de s'accentuer. Si ce tube n'étais pas là ! Je n'eu le temps de reprendre ma respiration qu'il était déjà rentré en moi et commençait une série incessante de vas et viens plus violent les uns que les autres. De temps en temps il me mettais une fessée avec force et détermination. J'avais beau ne pas voir je savais bien que mes fesses devaient êtres rouges... Tout comme moi. Je sentais l'orgasme grimper en moi. Je suffoquai, La bave coulait toujours à flot et rien ne pouvait arrêter mes gémissements plus intenses les uns que les autres. Je remuait mes hanches pour l'aider à aller plus loin... Je voulais avoir mal ! Mon bel anga toucha le fond a plusieurs repise ce qui me fit un effet fou. Je tremblait comme une feuille et j'étais emplis de sueurs froide. Mes gémissement laissent plasse à des cris stridents.

Mon amant laissa sa pierre précieuse pleurer en moi, elle pleura larme par larme. Ces larmes étaient chaude et d'une douceur incomparable.

Citronnade acidulée Où les histoires vivent. Découvrez maintenant