Jeongguk s'est blessé au collège pendant le cours de sport. Sa cheville s'est tordu dans un craquement assourdissant. La classe l'a trouvé tellement courageux de ne pas laisser échapper quelques larmes.
Il est devenu la nouvelle icône de l'établissement. Les classes de quatrième le connaissent tous. Jeongguk se sent aimé. Sa solitude s'atténue pendant un certain temps, mais revient au grand galop un peu plus tard.
À l'hôpital, on lui explique calmement qu'il ne pourra plus exercer de sport pendant un mois minimum. Jeongguk voulait pleurer, parce que le sport lui permet de s'évader quelques instants, d'oublier.
Mais il ne l'a pas fait, sa mère était à côté.