Jardin d'Éden, mes pas s'enfoncent dans le doux ivoire
De notre terre perdue que l'on ne peut qu'apercevoir
Flocons gelés arrachés à la gravité
Ils flottent dans le vide, loin de moi, tout prèsToute notion d'existence balayée
Le temps passe sans oublier
De nous attraper, nous arracher, nous détruire
Méchamment enlacés nous ne pouvons plus fuirPerdue dans mes pensées, je continue d'avancer
Ne faisant guère attention à ce qui persiste à m'entourer
Caressant doucement les firmaments
D'une immensité suppliant
La liberté et la joie
De la vie que l'on doit
Si l'on veut vivre essayer
À tout jamais d'attraperJe me laisse aller et
Sans agressivité aucune
Je souris au clair de lune.
VOUS LISEZ
Crescendo
PoetryLe temps passe Sans qu'on ne se lasse On prend la vie tel un cadeau Crescendo ... N'hésitez pas à commenter pour me donner votre avis ^^