Il t'observe dans l'ombre,
Tu ne peux le voir.
Mais tu l'entends ;
Tu n'entends que lui :
Ce silence assourdissant...
...Ce silence sifflant...
...Ce silence incessant....
Si seulement tu savais comment le stopper...
Mais il persiste, et,
Sans compter tes sombres pensées,
Il n'y a plus rien a écouter.
Même les oiseaux ont cessé de chanter...
Alors tu poses la tête contre mon cœur,
Le même que tu entendais battre il y a moins d'une heure...
......
.....
....
...
..
.
Mais maintenant, plus rien.
Comme s'il se foutait de ton chagrin...
Ton silence si précieux,
Tu es finalement en train de le briser...
Ta voix que je croyais à jamais perdue,
Je l'entends à nouveau hurler...
Mais je ne peux rien faire pour te consoler...
Pardonne moi, mon cœur, ma vie, mon monde,
Je ne pensais pas que ton silence serait mien...
Oublie que ce qu'on ressens l'une pour l'autre c'était tellement plus que rien...
Pardonne moi et oublie que ce “nous” a duré plus que deux secondes.
Si tu ne m'oublie pas, laisse moi te dire au moins ça :
Adieu mon amour, ma lumière, mon sang...
Nous nous reverrons là où les vieux vivent encore mille ans.
Donc ne me rejoins pas trop vite, j'attendrai autant qu'il faudra.
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Cahier Fourre-Tout
RandomUn cahier de brouillon où j'écris tout ce qui me passe par la tête.