𝐓𝐇𝐄 𝐔𝐌𝐁𝐑𝐄𝐋𝐋𝐀 𝐀𝐂𝐀𝐃𝐄𝐌𝐘 - 𝑵𝑼𝑴𝑬𝑹𝑶 𝑯𝑼𝑰𝑻 [[𝚃𝙾𝙼𝙴 𝟷]]

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Personne ne vue huit sortir de sa chambre de la journée, alors Klaus, cinq et Luther décidèrent d'aller voir si tout allait bien.

Quand ils rentrèrent dans la chambre, il constataient que huit était encore dans un bon cycle de sommeil. Luther et Klaus décidèrent de partir, car pour eux elle était juste fatigué et avait besoin de dormir. Cinq ne pu s'empêcher de la regarder dormir, en s'asseyant à côté d'elle il remarqua la boite de somnifères presque vide à ses pieds. Il tenta donc de la réveiller, se qui fut sans succès. Prit de panique il fît couler un bain chaud pour la réveiller, et essayât de la faire vomir. Huit finit par se réveiller en pleurant.

Pourquoi? T'aurais du me laisser continuer de dormir....
- Un peu plus tu y serais passé !
- Absolument pas! Je suis pas suicidaire tu le sais bien.
- Je ne te reconnais plus, avec le temps tu es devenu...
- Faible ? Parce que si c'est ce que tu voulais dire, je l'ai toujours été et c'est peut-être pour ça que papa m'injectait des produits pour me rendre plus forte, plus comme vous.
- Arrête d'être parano, tu n'as jamais été faible tu agis juste comme une imbécile ! Tu ne parles jamais de tes problèmes et c'est pour ça que tu es « faible » comme tu le dis.
- Enfin, tu l'admet.
- Putain mais arrête de te mettre dans des états comme sa...!!! Je pensais que tu voulais pas me perdre?
- C'est le cas!
- J'en ai pas l'impression...
- Me crois pas, écoute !
- Pourquoi tu fais tout ça ?
- J'ai pas envie d'en parler...
- Si cette fois tu va me le dire, pas question que je te retrouve une fois de plus dans cette état ! À partir de maintenant j'te lâcherais pas ! Et j'ai pas besoin de ton accord. Donc maintenant dis le moi.
- Si je le fait tu va te mettre en colère et j'ai pas envie !
- J'men fous dis le!
- Hier soir j'étais en boîte, j'étais bourré et défoncée et...
- Et ?
- Je peut pas... (se mit a pleurer)

Il se mit à lui caresser la joue droite en attendant que ça sorte de sa bouche.

Allez, tu y es presque!
- Il a essayé de coucher avec moi
- T'en avais envie ?
- Non, il m'étranglait et il a essayé de me déshabiller dans une ruelle et j'ai eu le temps de m'échapper.
- C'ÉTAIT QUI?!!
- Je ne sais pas je te rappelle que j'étais pas moi même je voyais flou...
- QUELQU'UN ÉTAIT AVEC TOI ?!!
- C'est à dire ?
- TU N'Y EST PAS ALLER SEULE ?!!
- Non... hum, si.
- PUTAIN, SI JE RETROUVE CE FILS DE PUTE IL VA PASSER UN MAUVAIS QUART D'HEURE !!! Cette fois je resterais avec toi pour te protéger, promis.
- D'accord. Mais s'il te plaît n'en parle à personne...
- T'a cru que j'allais raconter ça ? Ça reste entre nous.
- D'accord ! Mais du coup je vais devoir sortir de la baignoire maintenant haha.
- Besoin d'aide?
- Oui, merci. Attends je reviens je vais me changer.

Quelques minutes plus tard, huit et cinq se retrouvent dans la chambre...

Faut que je te dise quelque chose huit...
- Ha ouais?
- Oui, alors enfaite depuis que je suis revenu j'arrête pas de me dire que la fin du monde est proche;
- Mais ne stresse pas tout le monde est avec toi on va l'arrêter cette fin du monde...
- Attends laisse moi finir, ce que je veux dire c'est qu'au lieu de me préoccupé de la fin du monde je devrais d'avantage penser à toi, à nous.
- À nous?
- Tu sais bien...?
- Continue...
- Je veux t'embrasser...
- Fait le!

Cinq et huit s'embrassèrent langoureusement pendant plus d'une minute et...

Je t'aime, huit
- Moi aussi je t'aime, cinq. Enfaîte je t'ai toujours aimé...
- Alors c'est moi qui t'es brisé le coeur?
- Oui... Mais c'est du passé maintenant...
- Écoute à l'époque on était que des gamins et je me rendais pas compte, j'étais égoïste et je me souciais pas de ce que je faisais... Mais sache que une part de moi t'as toujours considéré autrement...
- Et maintenant ?
- De quoi maintenant ?
- On le dit aux autres? Parce que je sais pas si c'est une bonne idée... Ils ne pourraient pas comprendre...
- Pour l'instant ça reste entre nous et on verra si on le dit ou pas.
- C'est une bonne idée.

Cinq caressa les cheveux de huit en pensant à toutes ces choses, qui aurait pu se produire durant son absence, puis il s'endormit.