Tales of Amnistia

Virgo princesse humaine d'Amnistia (Part2)

Il est là face à moi. L'homme à la balafre.
"Euh bon-bonsoir! lui dis-je essayant de cacher ma panique.
-Bonsoir princesse Virgo. dit-il en affichant un sourire malsain." Sans m'en rendre compte je me suis mise à reculer et je me retrouve dos à ma porte en bois. Le balafré tends brusquement son bras vers moi en le posant sur la porte me bloquant l'issue au escalier je me mets à courir mais il attrape ma main et tire dessus. Ce geste m'attire vers lui et il commence à m'embrasser. Quand il décolle ses lèvres des miennes je crie au secours mais il met sa main dans ma bouche esquissant un autre sourire pervers. "Taisez vous" me sussure t'il à l'oreille. Tout en faisant cela il m'attire vers ma chambre où il me presse contre la porte. Je sens son bras passer dans mon dos commencer à essayer d'enlever les boutons de ma robe. Je lui mord alors la main et m'époumonne de plus belle: "AU SECOURS !!! AIDEZ MOI !!! GARDES !!! À L'AIDE QUELQU'UN!!! S'IL VOUS PLAIT" J'entends alors des bruits d'armure de gardes s'agitant dans l'escalier. " Mais tu peux pas te taire ! cri mon agresseur. Dommage pour toi sa aurait été je pense plus confortable dans le lit princier." Puis sans lacher son sourire il sort un collier de sous sa veste équiper d'une pierre brillant en son centre " Dites en revoir au palais. Princesse." Dit Balafre.
Et en quelque seconde je pense retrouve dans une pièce que je ne connais pas, je suis passé d'un couloir royal à une sorte de géôle au mur en pierre au sol de terre équiper d'un gros matelas. Mais je suis toujours dans les bras de mon agresseur balafré. Il me fait basculer dans le lit et continue de débouttoner ma robe une fois celle si enlevé il tire dessus comme tirerait un enfant un emballage recouvrant un énorme cadeau. Il réussi à me l'enlever et il tire sur sa chemise sombre faisant sauter tout ses boutons. Puis il se léche les lèvres. À ce moment là il n'a plus rien d'humain. Il est comparable à une bête affamé devant un bout de viande. Cependant je continue de me débattre certe il à enlevé ma robe mais j'ai encore mon corsé, mon soutien gorge, ma culotte et mes chaussures. Bien maigres véhéments mais cependant je ne suis pas nue et lui non plus c'est alors que la pierre sur son coup ce remet à briller " À enfin fait-il en la regardant." Puis il la prends dans sa main et ferme les yeux . Une sensation bizarre parcours mon corps et je sens le froid recouvrir mon corps et j'entends mes vétements et les siens tomber à quelques mètres de moi et les siens par la même occasion à ce moment là je sais que c'est fini. Je n'ai plus aucun espoir mais je me débats quand même mais ça ne suffit pas il me. Oh mon Dieu. Ce sale porc me, me.
Quand ce monstre a fini son affaire et qu'il se réhabille, je me roule dans les couvertures car je ne veux pas qu'il regarde mon corps nu une fois de plus puis je me mets à sangloter dans mon coin inconsolable.Et sans m'en rendre compte je m'endors.
À mon réveille il est là regardant dans le vide. " Pourquoi ? lui criai-je au visage.
-Eh bien pour trois raisons premièrement tu vas rester ici neufs mois tu te doute bien pourquoi. dit-il son sourire animal au joues, rien que cette nouvelle me fait mal. Ensuite tu parce-que tu es de sang royal et qu'il pourra réclamer le trône ensuite tout comme moi tu possèdes une grande dose de magie ce qui sera bénéfique pour lui. " Puis il me regarda m'écrouler de détresse et sortit par la  seul porte de cette pièce son fameux.sourire aux joues.
Et ce fut la dernière fois que je vis une personne pendant neuf mois. Je comptais me laisser mourir de faim pour qu'il n'ai rien de plus de moi et de l'enfant mais je n'eu pas faim je soupçonne un enchantement sur les murs de la tour me nourrissant à mon insu. Et neuf mois de plus de solitude. Neuf mois pendant lesquels mon ventre gonflé comme un ballon. Neuf mois à le lamenter et à penser à mon père, Kigen et Satis. Puis un jour, que mes cheveux sales et longs touchait le sol de la tour. Mon ventre fut pris de contraction. Immédiatement j'atteris sur un plateau entouré de femmes et d'hommes. Balafre ce tenais au fond cette fois si il avait l'air inquiet. Et je poussai, poussai. En fin j'y étais forcé par une quelconque sorcellerie car je voulais rester avec l'enfant dans mon ventre et ne pas leur céder.
Mais honte à moi j'ai accoucher puis ils m'ont endormi et renvoyé au palais quand je m'éveille mon père le visage maigri me prends dans ses bras Kigen, sa femme et ses enfants son la ainsi que Satis qui me prends elle aussi dans ses bras.
Mais je me souviens d'un détail. Avant de m'être endormi. J'ai vu que c'était mon fils et j'ai entendu :"Azarim mon enfant"