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Moi : Et moi j'ai envie de te parler donc tu la ferme et tu m'écoutes.
Davy : Non.
Moi : Tu veux que je te tues pour que tu m'écoutes.
Davy : Tellement conne celle-là.
Il prend sa veste et sort. Je cours dans le balcon pour voir ce qu'il compte.
Moi : Oh toi remonte vite !
Il ne me prête aucune attention, même pas un regard. Il s'en va. Voilà un de mes problèmes c'est que je ne prends jamais au sérieux les personne qui sont énervé contre moi. Mais vas-y lui aussi, il est grave chiant. J'essaie de revenir vers lui mais il part je ne sais où.
Putain je parle comme si c'était lui le fautif or que rien à voir.
Le lendemain
Je me réveille et vois qu'il n'est pas là. Où est-ce qu'il a passé la nuit alors. Je fais mon lit puis vais à la salle de bain.
Après la douche, je me me suis mise en petite tenue. Pas en sous-vêtements mais un short et un crop top-col roulé. Je me parfume et tout et sort de la pièce.
J'entre dans ma pièce préférée prendre des gâteaux.
Davy : Bonjour j'ai sursauté
Moi : Mais t'es malade !
Il m'ignore, dépose la vaisselle dans l'évier et quitte la pièce. Je le suis de très prêt.
Davy : Laisse-moi tranquille.
Moi : Dis-moi ce que t'as.
Davy : Tu te fous de moi ou quoi ?
Moi : Mais comprends moi-
Davy : Non toi comprends moi. Tu trouves ça normal qu'on doit te forcer pour que tu nous dis un truc aussi grave. Il aurait pu te violer bordel ! Arrête un peu de faire la go zen qui pense que nous vivons dans le monde des bisounours. Stop.
