Lysina Le Monde Caché

triste nouvelle

Cela faisait trois jour qu'elle ne sortait plus, qu'elle ne mangeait plus. Tous ses espoirs venaient d'être brisé. Son monde venait de s'ecrouler. Hier son père, en rantrant lui annonça la disparition de son grand-père. Elle en était si proche. En vérité elle decouvrit que l'atitude suspect de son père ces derniers jours venaient de la. Cela faisait une semaine que son grand-père était introuvable et les secours venaient de mettre fin au recherche, déclarant ainsi André de Lysina mort. Suite a quoi, depuis trois jours sa petite fille c'était enfermée en refusant de manger. Elle passait ces journées entières à observer des photos sous touts leurs angles, à réécrire les récits que son grand-père n'arrétait pas de lui raconter, à la recherche d'un indice. Car les mots de son grand-père la hantait tels des esprits tournant autour d'elle.(lorsque je disparaitrait se sera à ton tour de me rejoindre, à nous deux on les sauvera.)

Soudain son meilleur ami toqua a sa porte. Elle pensa que c'était son père et lacha ď une voix pleine de sanglots:
-N'entre pas!

Elle lui en voulait de ne pas l'avoir prevenue plus tôt.

-Mais je.... bon ď accord je m'en vais.

Elle reconut la voix et oubliant l'état de ses cheveux ou encore son pyjama licorne, couru ouvrir la porte. Son ami lui tournait déjà le dos elle l'attrapa par derrière et l'attira dans sa chambre.

-Qu'est ce que...
-Chuuut.
-Heu... Tu peut m'expliquer ton comportement et tout ça.

Il venait de pointé du doigt la piece dont les volets fermé et les papiers à terre laissait croire qu'une tornade s'y était infiltré. Elle se rendit alors compte qu'elle venait de rater des cours et que son telephone était resté éteint. Elle s'empressa d'aller le chercher tout en racontant ce qu'il s'est passé a son ami dont le visage se déforma lorsqu'il comprit l'état dans lequel elle était. Puis elle lâcha avec stupeur.
-48 appels et 57 messages mais tu es completement malade.
-A en croire ta tête, ton histoire d'indice, de monde caché dans une dimension parralèle et ľ état de ta chambre c'est toi qui est completement folle.
-Je...

Mais la suite de sa phrase lui faisait trop mal, elle ne pouvait admetre l'état dans lequel elle était. Un melange de nostalgie, malancolie, tristesse c'etait transformé en folie. Elle contempla sa chambre puis regarda son ami qui dans les yeu il y lu l'aide dont elle avait besoin.
-Viens dans la cuisine ton père ta preparé a manger.
-Non je lui en veut encore je ne sortirais pas.
-Ok alors je vais te ramener une pizza mais pendant ce temps tu t'habille.

Sur ces dernier mot leurs joues se teintère de rouge.

-Dacord mais dépèche toi.

A son retour ils passèrent l'après-midi à ranger les papiers,les photos mais comme elle ne voulait pas accepter la mort de son grand-père il l'aida a trouver des indices. A la fin de la journée elle avait ratrapé ses cours manquant et parlait avec son ami elle n'avait pas sourit mais c'était detendu.
Cependant son père entra dans sa chambre.

-Demain on ira aux obsèque de ton grand-père là-bas seront distribué les objets qu'il offre en héritage.

Comme elle ne repondait son père ferma la porte. Quelques heures plus tard son ami parti en lui promettant qu'il l'accompagnerait le lendemain.