Sa Majesté | Taekook/Yoonmin

XXXI

[Partiellement Traduit par @Bae_GucciTears ]

« Votre Majesté.» un domestique entra dans le bureau du roi. Il s'inclina doucement et s'approcha du bureau. «La reine veut vous voir.»

«Faites-la entrer.» dit Taehyung. « Merci. »

Le jeune homme ouvrit la porte à Jisoo qui entra alors avec un sourire radieux sur le visage. «Bonjour mon fils.»

«Bonjour mère.» Taehyung se leva pour la saluer. Il déposa un doux baiser sur le dos de sa main et l'aida à s'asseoir. «Qu'est-ce qui vous amène ici?»

«J'ai des nouvelles. » dit-elle en attendant qu'il s'asseye en face d'elle. «J'ai reçu une lettre de ma sœur, elle vient à Virtus car elle n'a jamais eu la chance de le faire auparavant.»

«Tante Chaeyoung?»

«Oui.» Sourit Jisoo. «Elle a demandé si elle pouvait passer une semaine ou deux au château.»

Taehyung hocha la tête avec un sourire. «Bien sûr qu'elle le peut, elle fait partie de la famille après tout. Aussi, je ne l'ai pas vue depuis que son fils aîné s'est marié.»

«Eh bien, elle vient avec son plus jeune fils.»

«Oh?" Le roi arqua un sourcil. «Vous voulez dire Yugyeom? La dernière fois que je l'ai vu, il apprenait encore à écrire et à lire. »

Jisoo se mit à rire. «Crois-moi, il est devenu un vrai gentleman. Je pense qu'il a le même âge que ton mari. »

«C'est bien qu'il accompagne tante Chaeyoung. Jungkook se sent un peu seul en ce moment alors peut-être que Yugyeom rendra ses journées moins ennuyeuses. »

«J'en suis sûr.» Acquiesça la reine.

Après le départ de Jisoo, Taehyung continua à travailler dans son bureau pendant des heures. Il avait énormément de papiers à signer et de lettres auxquelles il devait répondre.

Après qu'il eut fini, il avait une réunion avec des ambassadeurs étrangers, des gens nobles, et des chevaliers. C'était une réunion mensuelle où il recevait des nouvelles sur toutes sortes d'endroits, d'incidents et de détails de la dernière guerre, ou de batailles des autres et bien d'autres choses en ce genre. Là, ils discutaient de tout ensemble et il arrangeait des choses pour quelle soit faites  selon ce qu'ils avaient proposé, ou promis de résoudre quelques affaires au conseil. Il interdisait ce qu'il lui paraissait déraisonnable, ce qui favorisait queques uns, et signait des lettre et promettait des jours de congés pour les personnes qui le méritaient.